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Revue de presse Chère brigande (Lettre à Marion du Faouët) Presse écrite « En exergue de son livre sur Victor Dojlida, résistant, déporté, emprisonné l'essentiel de sa vie pour avoir refusé que ceux qui l'avaient livré à la Gestapo puissent continuer de vivre normalement, Michèle Lesbre avait placé cette citation du philosophe Vladimir Jankélévitch : Les morts dépendent entièrement de notre fidélité. Et c'est par fidélité qu'elle adresse cette lettre à sa "chère brigande", qui l'accompagne depuis tant d'années, féministe avant l'heure, égérie d'une bande de Robins des Bois bretons, qui prenaient aux nantis pour donner aux plus démunis, Marion du Faouët, pendue au gibet de Quimper en 1755. Et voici, vivante comme jamais, sous la plume élégante de Michèle Lesbre, la figure rebelle du XVIIIe siècle qui vient percuter notre époque, où sévissent les inégalités. L'auteur dialogue avec elle, puise dans son histoire l'énergie de croire encore aux utopies, malgré le plomb de l'actualité, se souvient à son tour des combats qui l'ont portée, comme la guerre d'indépendance algérienne. Se déplaçant en Bretagne, sur les traces de sa "chère brigande", l'auteur voit resurgir l'histoire d'un amour aujourd'hui disparu, les mémoires se mêlent, subtiles et mélancoliques, et Michèle Lesbre signe sans doute son livre le plus intime. Éclatant de sincérité. » Michel Abescat, Télérama, mercredi 5 avril 2017 Lire tout l'article au format PDF« Après avoir remarqué Marion, une jeune SDF à la chevelure flamboyante qu'elle n'a pas eu le temps de secourir, la narratrice écrit une lettre à Marion du Faouët, brigande bretonne du XVIIIe siècle, pendue à l'âge de 38 ans, qui l'a toujours fascinée. Gamine effrontée, cette "Robin des Bois" insoumise aux cheveux de feu, voleuse au grand cœur qui redistribuait l'argent aux plus pauvres, lui permet d'exprimer ses désirs et ses rêves d'ancienne militante. Avec ce court récit, précis et lumineux, Michèle Lesbre salue de la plus belle façon tous ceux qui se sont battus pour leurs idéaux. Des résistants connus ou inconnus qui ont leur place dans notre Histoire. » « On bouquine encore… », Anne Michelet, Version Femina, dimanche 12 mars 2017 Lire tout l'article au format PDF« Michèle Lesbre a[vait] tiré de l'oubli Victor Dojlida (1926-1997), jeune résistant, emprisonné pendant quarante ans pour avoir, à son retour de déportation, cherché à se venger de ceux qui l'avaient dénoncé. La voici maintenant qui exhume la figure de Marion du Faouët (1717-1755), qui combattait la misère au siècle des Lumières. Avant d'être pendue à l'âge de 38 ans, elle commanda une troupe de voleurs sévissant en Cornouaille. Ils épargnaient les pauvres et détroussaient les riches, sans coup férir. Michèle Lesbre s'adresse à sa "chère brigande" comme à une compagne de cœur et de luttes. À Quimper et sur la côte bretonne, elle recueille les traces du passage de cette grande amoureuse. Ce faisant, elle remonte le cours de sa propre existence. D'un livre à l'autre, les mots de Michèle Lesbre semblent de plus en plus comptés, et précieux. Son nouveau récit est une splendide balade, baignée de mélancolie, dans les sentiers buissonniers de la mémoire. » « Marion des bois », Macha Séry, Le Monde des livres, vendredi 24 février 2017 Lire tout l'article au format PDF« Marion du Faouët a mené au début du XVIIIe siècle, en Bretagne, une vie de Robin des Bois, prenant aux riches pour redistribuer aux pauvres. Cette femme des temps passés, qui accompagne l'auteure dans l'écriture depuis des années, semble ressurgir dans son présent sous les traits d'une autre Marion, une jeune SDF qu'elle n'a pas pu aider. Comme si elle souhaitait désavouer la désespérance du monde actuel, Michèle Lesbre se lance sur les traces de la fascinante Bretonne. Par cette lettre, elle donne vie à la voleuse mais permet aussi à la romancière d'exprimer ses propres désirs, ses utopies et ses rêves, une femme devant le miroir de l'autre. » Biblioteca, février 2017 Lire tout l'article au format PDF« Chère brigande est la lettre d’une femme engagée à une jeune rebelle. Trois siècles les séparent mais une belle utopie – le respect de l’être humain – les rapproche dans le rêve d’un monde meilleur. Lydie Baillie, librairie Aux lettres de mon moulin, Page des libraires, février 2017 Lire tout l'article au format PDF« Michèle Lesbre a le chic pour écrire des petits livres qui vous poursuivent longtemps. Par touches légères, le nez en l’air, elle vous fait parcourir des contrées qu’on croyait connues et rencontrer des gens imprévisibles. Ainsi [son dernier] livre évoque très précisément le destin de Marion du Faouët qui mourut par pendaison à 38 ans en 1755 sur une place de Quimper. N’allez pas croire qu’elle nous livre là un récit historique haletant, vantant les exploits de cette belle femme rousse détroussant les riches pour donner aux pauvres. Nul effet de cape ou d’épée mettant en avant le grand cœur de cette Robin des Bois en jupon. Plutôt une méditation sur le temps qui passe, les amours envolées et le constat amer que notre civilisation plus vieille de trois siècles n’a pas trouvé de solutions à la misère du monde et à sa banalisation. Notre monde n’est-il pas de plus en plus violent, n’abandonne-t-il pas les plus démunis et n’est-il pas devenu la proie d’individus criminels ? Michèle Lesbre nous appelle à la vigilance pour que notre monde échappe à la haine. » Voir l'article original« Une brigande au grand cœur », Chris Bourgue, Zibeline et www.journalzibeline.fr, janvier 2017 « Michèle Lesbre célèbre les résistants, que ce soient ceux qui s’opposent à la nuit du monde, ceux qui se battent pour leurs idéaux ou ceux qui traversent les épreuves dignement. Toute son œuvre est traversée par la voix d’inconnus qui se sont fondus dans l’Histoire comme dans Victor Dojlida, une vie dans l'ombre. Des êtres affrontant leurs failles intimes ou collectives. Une façon détournée de parler d’elle dans ses romans ou ses récits. Celui-ci renferme un condensé de vie qui se raconte par fragments. Il se veut une lettre ouverte à Marion du Faouët. […] Cette féministe avant-gardiste – sorte de "Robin des Bois" bretonne – se voulait avant tout libre. Libre d’aimer, d’aider les pauvres ou d’aller à contre-courant. Ces temps tourmentés ont bien besoin d’une telle femme de caractère. […] » « Avant-critiques : Une femme de caractère », Kerenn Elkaïm, Livres Hebdo, vendredi 13 janvier 2017 Lire tout l'article au format PDFAudio - Vidéo - TV « L'auteure écrit à Marion de Faouët sorte de Robin des bois du XVIIIème siècle qui à sa manière nous parle d'aujourd’hui. Michèle Lesbre, elle, ne renonce pas et signe avec cette lettre à une rebelle son roman le plus personnel. Le plus engagé. » Vidéo de la lecture d'un extrait de Chère brigande par Alexandra Lemasson. Voir la vidéo« Les lectures d'Alexandra : Chère brigande de Michèle Lesbre, lettre à une rebelle », Alexandra Lemasson, Des mots de minuit, dimanche 5 mars 2017 « Une lettre de femme à femme. La narratrice sʹadresse à Marion du Faouët, la brigande bretonne rebelle et courageuse. Pendue haut et court à lʹâge de 38 ans. Féministe avant lʹheure et avant la lettre. « Versus Lire », Marlène Métrailler, RTS, jeudi 9 février 2017 Michèle Lesbre était l'une des invitées culture de Patrick Poivre d'Arvor pour Chère brigande (Lettre à Marion du Faouët). « L'Invité Culture », de 0'56'' à 8'00'', Patrick Poivre d'Arvor, Radio Classique, mercredi 8 février 2017 Lire tout l'article au format PDF« J'ai eu envie d'écrire à Marion du Faouët, qui est une femme rebelle née en 1717 dans une Bretagne misérable, qui va créer à même pas vingt ans sa bande, avec son frère, son amoureux et quelques hommes à cheval, et ils vont dépouiller les riches marchands, les curés, qui rentrent des marchés et des pardons, partager entre eux évidemment, mais aussi donner aux pauvres dans les périodes de grande misère. « Dans quelle éta-gère », Monique Atlan, France 2, vendredi 27 janvier 2017 Coup de cœur des libraires « Marion est une SDF qui vit au pied de l'immeuble de Michèle Lesbre, et Marion un jour disparaît. Et Michèle Lesbre repense à une autre Marion, Marion du Faouët, qui était une brigande des grands chemins, une Robin des Bois qui volait l'argent aux riches pour donner aux pauvres. Et elle va lui écrire une lettre. Elle va revenir sur ses traces à Quimper et, lors de son voyage dans le train, elle va repenser à sa propre vie, à la vie de Marion, elle va faire des comparaisons, et elle nous parle magnifiquement de notre société, bien malade, de notre monde… Et on a envie de serrer Michèle Lesbre dans nos bras, pour lui dire merci de ce cadeau qu'elle nous a offert. » Voir le siteCoup de cœur d'Hélène des Ligneris, librairie La Machine à Lire (Bordeaux), Journal de 12 h, de 13'00'' à 13'56'', France 3 Aquitaine, vendredi 10 février 2017 « Aux Femmes ! Coup de cœur de Mathieu Baussart, blog de la librairie Quai des brumes (Strasbourg) Lire tout l'article au format PDF« Bretonne rebelle et intrépide, née au XVIIIe siècle, Marion du Faouët occupe toutes les pensées de l'auteur. Un court texte d'une intensité incroyable sur l'injustice et la solidarité d'hier et d'aujourd'hui. » Coup de cœur de la librairie Lajarrige (La Baule) « À la suite de la disparition brutale d'une sans-abri qui s'appelait Marion, Michèle Lesbre, qui croit en la mémoire des noms, adresse une lettre à Marion du Faouët, rebelle, amoureuse et libre. Un texte engagé qui fait résonner les combats d'hier avec ceux d'aujourd'hui et rend un vibrant hommage aux marginaux et aux exclus. » Coup de cœur de Jean-Philippe Pérou, librairie Le Silence de la mer (Vannes) Lire tout l'article au format PDF« Chère brigande est une lettre adressée à Marion du Faouët. « Les 3 M », coup de cœur de Delphine Le Borgne, librairie Dialogues (Brest) « Elles font peur. Tu fais peur, ta liberté fait peur, ton insolence aussi. Coup de cœur de la librairie Le Genre Urbain (Paris XXe) Lire tout l'article au format PDF« D'une écriture sobre et douce qui révèle une fois de plus son style élégant, Michèle Lesbre nous invite à découvrir Marion du Faouët, jeune brigande bretonne du XVIIIe siècle, libre et vagabonde. Courte forme épistolaire pour évoquer aussi un cheminement intérieur et intime d'une époque à l'autre, une réflexion sur un monde contemporain devenu fou où la pauvreté perdure dans le rejet et l'ignorance, où le partage n'est plus de mise, où les grands voleurs restent impunis tandis que la démocratie périclite. « Déambulation littéraire », coup de cœur de Betty Duval-Hubert, librairie La Buissonnière (Yvetot) « Marion du Faouët fut une sorte de Robin des Bois bretonne au XVIIIe siècle, cheffe d'une bande de brigands plutôt non violents, qui furent poursuivis sans relâche et finalement arrêtés, torturés et pendus. C'est une figure historique qui a toujours interpellé Michèle Lesbre ; elle choisit de s'adresser à elle lorsque disparaît près de chez elle une autre Marion, rousse elle aussi, marginale elle aussi, et alors que cette disparition la plonge dans une angoisse confuse. Coup de cœur de la librairie La Carline (Forcalquier) Lu et conseillé par : Page des libraires, février 2017 « Le dernier livre de Michèle Lesbre est une longue lettre pour Marion du Faouët, une voleuse du XVIIIe siècle qui sévissait en Bretagne, au nord de Lorient, détroussant les riches pour aider les pauvres. Coup de cœur de la librairie À Livr'Ouvert (Paris XIe) Coup de cœur de la librairie L'Art de la joie (Paris XVe), La Hulotte (Annonay)… « L'auteur fait un formidable parallèle entre la vie de Marion du Faouët, "Robin des Bois" bretonne du XVIIIe siècle, son engagement, son dévouement, et notre société actuelle. Un court texte engagé et militant ! » Coup de cœur de la librairie Le 5e Art (Saint-Jean-de-Luz) Presse Web « Poursuivant une sorte de cycle où la mémoire et le présent se rejoignent, se superposent, parlent l’un pour l’autre, l’écrivaine Michèle Lesbre approche cette fois Marion du Faouët, une rebelle bretonne du XVIIIe siècle, pendue à l’âge de trente-huit ans, pour avoir porté soutien aux pauvres, aux isolés, aux laissés-pour-compte de la société. « Le roman d'Histoire de Michèle Lesbre », Claudine Galea, remue.net, dimanche 19 février 2017 « Une rencontre furtive, qui secoue les convictions de notre héroïne. Le genre de rencontre qui bouleverse et bouscule le rythme des petites routines, une rencontre qui fait réfléchir à une grande question : qu'est-ce qu'on fait concrètement pour aider son prochain ? De cette rencontre, l'auteur va décider de rédiger une lettre à Marion du Faouët, une redresseuse de torts dans la Bretagne des années 1740-1750. Au passage, elle nous fera découvrir cette femme, à la personnalité incroyable, féministe avant l'heure et profondément empathique. L'auteur en profitera également pour nous glisser un peu d'elle-même, de ses utopies, ses révoltes, ses actions… sans jamais nous donner de leçon. » Voir l'article original« C'est lundi que lisez-vous ? », Blog Bib hors les murs, lundi 6 mars 2017 Une personnalité bordelaise, l'écrivain Pascale Dewambrechies, nous confie ses coups de cœur culturels. « Le profil culture de Pascale Dewambrechies », Nathalie Vallez, Beau Bon Bordeaux, mardi 28 février 2017 « D’Olympe de Gouges, il est aussi question, un instant, dans le récit incisif et rêveur de la romancière Michèle Lesbre, Chère brigande, consacré à une Robin des Bois bretonne du XVIIIe siècle : Marion du Faouët. À l'instar d’Olympe de Gouges, qui signa la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne et fut guillotinée, Marion du Faouët, bandite de grands chemins, finit sa courte vie au gibet, à l’âge de trente-huit ans. Michèle Lesbre, qui signe ici son onzième livre, est partie sur ses traces. Chère brigande est un carnet de voyage, un subtil jeu de ricochets : sous la forme d’une lettre à la disparue, ce récit bref (80 pages) s’offre comme une promenade douce-amère dans une mémoire française – celle des luttes pour la justice et la liberté. « Rentrée d'hiver 2017 : Du plus loin qu'elles s'en souviennent », Catherine Simon, Diacritik, vendredi 17 février 2017 « Comme elle l’avait magnifiquement fait pour Victor Dojlida, Michèle Lesbre sort de l’ombre Marion du Faouët, déjà croisée dans Le Canapé rouge en compagnie d’Olympe de Gouges. Attirée par ces êtres indomptables et imparfaits aux destins tragiques, Michèle Lesbre ressuscite les blessures que laisse l’Histoire, s’empare de leurs combats illusoires qui offrent une force de vie, la nourrissent, la construisent et la renvoient, en écho, à ses propres engagements. […] Pascale Arguedas, blog "Calou, l'ivre de lecture" |
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