« On se laisse bercer, comme envoûtés, par le rythme de ce long monologue dans lequel une femme évoque l’homme qu’elle a aimé. »
Marie-Aube Ruault
« On se laisse bercer, comme envoûtés, par le rythme de ce long monologue dans lequel une femme évoque l’homme qu’elle a aimé. »
Marie-Aube Ruault