BLOG LE PAVILLON DE LA LITTÉRATURE, samedi 8 septembre 2013


« Mélodieux, ponctué en leit-motiv de la quête, par tous les sens, de la figure maternelle – Michel-Ange a perdu sa mère, jeune, C’est ainsi qu’à six ans, il devient orphelin de mère et de mémoire – ce beau roman nous projette au cœur du processus de création. Au cœur de cette pierre vivante et majestueuse qu’est le marbre de Carrare et de la personnalité riche, multiple et sensible et tourmentée d’un homme qui incarne si bien l’esprit de la Renaissance italienne. Qui de la pierre fait jaillir la vie. »