LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ, François Billy, dimanche 27 janvier 2013


« Le livre du dimanche : Wagner vu par un Haut-Alpin »

« On peut lui attribuer la grandeur de Sophocle ou le souffle de Shakespeare. On peut rappeler qu’il est mort en galante compagnie, comme tel président de la République française. Richard Wagner (Leipzig 1813 – Venise 1883) reste cependant un personnage incomparable. Vincent Borel s’est glissé dans l’âme et la peau de cet artiste maudit qui n’a jamais douté de son génie.

Résultat ? Trois cents pages de fulgurances ; le portrait haut en couleur d’un compositeur persuadé de voir un orchestre dans l’humanité et un opéra dans le monde ; la flamboyante restitution du brasier créatif où, sa vie durant, s’est consumé Richard W. »