LE FIGARO LITTÉRAIRE, Étienne de Montety, jeudi 25 juin 2020


« Dans Trois jours à Berlin, Christine de Mazières racontait par une construction habile faite de voix diverses la chute du Mur. Elle poursuit sa chronique de l’histoire allemande contemporaine à sa façon : la polyphonie narrative. Avec La Route des Balkans, on quitte l’histoire pour le temps présent : le drame des migrants arrivant en Europe centrale. Leur afflux massif provoque une séisme Outre-Rhin. […]

Christine de Mazières est servie par un style d’une grande sobriété qui la prémunit contre les effets faciles d’émotion ou d’indignation. Seule l’intention littéraire la guide. »