Passagères de nuit de Yanick Lahens, Clémentine Goldszal, ELLE, 16 octobre 2025


« L’écriture de Yanick Lahens coule comme un torrent, charriant dans son flux les destins cabossés de ses ancêtres. Dès la première ligne de « Passagères de nuit », un courant nous emporte, nous malmène et nous berce, nous secoue et nous caresse. »