
- Auteur : Marion MULLER-COLARD
REVUE DE PRESSE
L'Ordre des choses
Presse écrite
L'Ordre des choses de Marion Muller-Colard, Stéphane Lutz-Sorg, Réforme, 8 décembre 2025
« Il faut l’expérience de celle qui siégea au Comité consultatif national d’éthique pour écrire avec cette acuité l’abyssale difficulté d’affronter les fameuses questions de la fin de vie ou des directives anticipées quand elles se présentent, si concrètes, devant soi, et pour arriver à passer par-dessus bord les doctes discussions théoriques. »
EN SAVOIR PLUSL'Ordre des Choses de Marion Muller-Colard, Julie Vasa, ELLE Suisse, 28 novembre 2025
« Dans ce récit intime sous forme d'introspection, l'autrice réfléchit avec honnêteté, lucidité, humilité et non sans humour, sens qu'elle partageait avec son père, à ce que recouvre la notion de vie. »
EN SAVOIR PLUSL'Ordre des choses de Marion Muller-Colard, Veneranda Paladino, L'Alsace, 16 novembre 2025
« Cette expression, l’ordre des choses, m’évoque cette tenue de nos dignités sociales et de nos parades d’adultes. Cela relève pour moi d’un euphémisme, d'une réalité vécue »
EN SAVOIR PLUSL'Ordre des choses de Marion Muller-Colard, Marco Dogliotti, Le Temps, 11 novembre 2025
« Apprivoiser le chagrin avec des ruses de Sioux, c’est à quoi s’attelle Marion Muller-Colard dans L’Ordre des choses, consacré à la très longue fin de vie de son père. Un récit bref, une centaine de pages à peine, mais d’une densité exceptionnelle par la foule de questions qu’il soulève. »
EN SAVOIR PLUSL'Ordre des choses de Marion Muller-Colard, Christophe Henning, La Croix, 2 octobre 2025
« Un récit intime et littéraire, à fleur de peau. »
EN SAVOIR PLUSPresse Web
L'Ordre des choses de Marion Muller-Colard, Linda Pommereul, Page des libraires, 24 novembre 2025
« Un récit émouvant, parfois âpre, où l’écrivaine mêle poésie, émotions et sentiments confus. »
EN SAVOIR PLUSL'Ordre des choses, Nicolas Gary, Actualitté, 29 septembre 2025
« Au-delà du portrait familial, le livre prend résolument appui sur les débats de société. Marion Muller-Colard siège au Comité national d’éthique : ses réflexions sur l’euthanasie, le maintien artificiel en vie, l’« aide active à mourir » sont nourries de cette double expérience, théorique et intime. Un « steak-frites », réclamé par le père diminué, pèse ici plus lourd qu’un traité philosophique : c’est toute la question de la volonté, du désir de vivre malgré tout, qui se joue dans cette demande prosaïque. L’autrice s’élève contre l’illusion des directives anticipées — "la volonté ne se conjugue qu’au présent », écrit-elle en substance — et rappelle que l’éthique ne peut jamais s’énoncer hors de la situation singulière, dans la chair d’un visage aimé".»
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