VERSION FEMINA, Anne Michelet, 27 avril 2025
« Au fil de cette quête identitaire émouvante, Dima Abdallah nous entraîne dans un récit riche de poésie et de tendresse. »
« Au fil de cette quête identitaire émouvante, Dima Abdallah nous entraîne dans un récit riche de poésie et de tendresse. »
« L’écrivaine a quitté le Liban à 12 ans, mais ne cesse d’y revenir, pour dire la souffrance du déracinement, l’errance identitaire et les stigmates d’une guerre civile par-delà les générations. »
« Le puissant monologue de ce narrateur meurtri nous fait entrer dans le rouge de la plaie initiale, celle des êtres au « sang hybride ». Son phrasé obsessionnel traduit une quête impossible : la recherche des mots qui sauraient dire le mal et, simultanément, du silence qui saurait le faire taire. »
« Un vrai voyage, géographique et dans l’âme humaine. »
« Ce livre intense dans lequel on est, par ses rythmes, par son cheminement narratif, littéralement emporté. »
« On retrouve avec plaisir la langue vernaculaire de la Suisse romande et les paysages des montagnes valaisannes qui ont fait naître la plume de Sarah Jollien-Fardel… »
« Ce beau roman infiniment touchant, où s’égrènent les souvenirs, compose le portrait délicat et tangible de la mère de l’autrice… »
« Ce très beau roman, porté par une écriture poétique et troublante, raconte les fantômes qui peuvent nous traverser, nous construire mais aussi nous détruire. »
« Dans une langue musicale, poétique, précise, Dima Abdallah rend sensible les blessures de l’enfance et les difficultés à grandir déraciné. »
« Elle a vécu, cela on l’imagine, dans le contexte d’affrontements qui n’en finissaient pas, au milieu des bombes, avec un sens aigu de l’irréconciliable qu’elle met en scène avec un immense talent. »