L’HUMANITÉ, Muriel Steinmetz, mercredi 5 mars 2025
« Le deuxième roman de Sarah Jollien-Fardel s’attache au destin d’une femme qui porte sur ses épaules le poids d’un héritage familial trop lourd. »
« Le deuxième roman de Sarah Jollien-Fardel s’attache au destin d’une femme qui porte sur ses épaules le poids d’un héritage familial trop lourd. »
« Le lecteur embrasse dès les premières phrases la route caillouteuse de cette plongée existentielle, dans un cadre montagneux magistral et saisissant, construit par une syntaxe douce ou abrupte, à l’image des massifs alpins. »
« C’est avant tout un texte magnifique, subtil et ironique à la fois, teinté de poésie. »
« Sarah Jollien-Fardel n’écrit pas vraiment à l’os, son style n’est pas tout d’épure, car les colères de sa plume ont leur générosité d’âme. »
« Elle réussit une gageure : raconter des drames et les sublimer grâce à la splendeur d’un style, grâce à l’art. »
« Puisque le monde est démembré, puisque le langage et ce qui tient ensemble les choses ont déserté Rose, rien, il le sait, ne saurait la consoler, si ce n’est les mots des autres. »
« Un cheminement de la nuit à la lumière où la lecture occupe une place centrale. »
« L’écriture magnétique de la Suisse Sarah Jollien-Fardel a raison de nos premières réticences. Car la situation de départ est étrange, effrayante même. »
« La langue de John McGahern est très belle, comme les flots d’une mer, agitée puis tranquille. »
« Dans un roman incandescent, « D’une rive l’autre », Dima Abdallah raconte l’histoire d’êtres confrontés, dès l’enfance, à une réalité aussi prégnante qu’énigmatique et désenchantée, mais que le regard d’un narrateur abîmé parvient pourtant à réenchanter de façon troublante. »