LE MONDE DES LIVRES, sélection 2024, 1er décembre 2024
« Rien de plaintif néanmoins dans ce très addictif récit : vivacité, mordant et humour en sont, au contraire, les maîtres mots. »
LE MONDE DES LIVRES, sélection 2024, 1er décembre 2024
« C’est par un long plan-séquence époustouflant de réalisme et de beauté que commence L’Agrafe, de Maryline Desbiolles… »
LE NOUVELLISTE, Jean-François Albelda, 29 novembre 2024
« La Longe », une troublante histoire d’amour et de rédemption.
PAGE DES LIBRAIRES, Linda Pommereul (Librairie Doucet au Mans), Fêtes 2024
« Son œuvre abondante est l’une des plus audacieuses de sa génération. »
LIBÉRATION, Frédérique Roussel, samedi 2 novembre 2024
« En peu de mots, l’écrivaine installe le lecteur dans un quotidien rural et villageois, des sphères familiales brossées au plus près, avec un brouillage du réel et un dénouement inattendu. »
LE MONDE DES LIVRES, Florence Noiville, vendredi 1er novembre 2024
« Rien de plaintif dans ce très addictif récit : vivacité, mordant et humour en sont au contraire les maîtres mots. L’art du dialogue y est maîtrisé et percutant, chaque page fait mouche. »
MADAME FIGARO, Minh Tran Huy, vendredi 25 octobre 2024
« Maryline Desbiolles nous offre un livre tendu comme un arc […] où une jeune fille poursuit sa route malgré tout, continue de filer en dépit de sa jambe massacrée, en quête de vent, de lumière et de liberté. »
LE SOIR (Belgique), Pierre Maury, samedi 19 octobre 2024
« Le parcours est semé d’embûches. Les deux femmes négocient cependant les virages les plus dangereux de leur existence avec une volonté qui force l’admiration. »
LIVRES HEBDO, Marie Fouquet, octobre 2024
« Cette trilogie, si mal perçue au moment de sa parution, prend aujourd’hui tout son sens. […] À l’heure du backlash post-#MeToo, la relecture de ces textes fondamentaux et de cette voix sublime, teintée d’humour et d’audace, paraît d’une nécessité absolue. »
TÉLÉ 7 JOURS, Héloïse Goy, lundi 7 octobre 2024
« C’est avec une plume magnifique et une héroïne aussi lumineuse qu’inébranlable que l’auteure d’“Il n’y aura pas de sang versé” nous parle de résilience sur fond de racisme. Puissant. »