L’ALSACE, Jacques Lindecker, vendredi 22 mars 2024
« À l’intérieur d’Aurore, le cratère – c’est le titre du sidérant et bouleversant roman aux accents autobiographiques d’Arièle Butaux – est béant. »
ARTPRESS, Colin Lemoine, avril 2024
« On savait Bernard Pagès sculpteur voluptueux, on le découvre écrivain, peuplé de phrases splendides, nues, attachées au parti pris des choses. On découvre Maryline Desbiolles statuaire : ses mots dégagent du marbre Pagès la forme pure. »
TÉLÉRAMA, Stéphane Ehles, mercredi 27 mars 2024
« Jean Mattern reprend avec une infinie délicatesse les thèmes souvent explorés dans son œuvre : la filiation, la paternité, l’homosexualité, les non-dits, les faux-semblants, les origines, les réminiscences. Et l’exceptionnel pouvoir de la musique. »
BEAUX ARTS MAGAZINE, Solène de Bure, avril 2024
Sensible à ce récit sur la transmission, [Boltanski] avait joué les complices et donné à l’auteur des entretiens inédits inclus dans l’ouvrage. De quoi brouiller un peu plus les pistes de ce récit initiatique jubilatoire.
NOTRE TEMPS, Stéphanie Janicot, avril 2024
« Ce court texte est d’une simplicité parfaite, tranchant et juste comme un regard d’enfant. »
LE FIGARO LITTÉRAIRE, Mohammed Assaïoui, jeudi 14 mars 2024
« Il est rare de lire un véritable roman qui a également la puissance d’un livre d’histoire et décrypterait les liens mêlés entre la France et l’Algérie – mais une histoire qui serait regardée et écrite à hauteur de femme, une enfant issue de ce qu’on appelle un « mariage mixte » ».
LE JOURNAL DES ARTS, Anne-Cécile Sanchez, vendredi 1er mars 2024
« Un ton personnel et attachant dans le registre d’une ambivalence très contemporaine entre document et fiction. »
LA CROIX, Emmanuelle Giuliani, samedi 2 mars 2024
« Accélérant le tempo d’une écriture simple et précise, Jean Mattern lance des cailloux de plus en plus loin sur les eaux de son roman. De questions en révélations, l’univers de Clément est mis sens dessus dessous. La vie peut commencer. »
ARTPRESS, entretien avec Catherine Millet, mars 2024
« Annette Messager a résumé le livre en une phrase : « Tout est faux et tout est vrai » »
REVUE DES DEUX MONDES, Judith Sibony, mars 2024
« Puisse cette histoire lumineuse inspirer d’autres femmes sur le chemin de l’émancipation. »