BEAUXARTS.COM, Inès Boittiaux, samedi 17 février 2024
« Un récit initiatique vibrant, doublé d’un poignant hommage à Christian Boltanski. »
« Un récit initiatique vibrant, doublé d’un poignant hommage à Christian Boltanski. »
« Jean Mattern, avec brio, exploite ses thèmes de prédilection pour révéler comment les vérités cachées façonnent la littérature, naviguant à travers les secrets de famille dans une narration rythmée et poignante. »
« Tout en nuance, en finesse, la langue de François Jonquet sait quand il le faut se faire jeu de massacre, mais tout autant enquête sur une autre beauté possible, tout en restant un haletant roman d’initiation.»
« Au Café sans nom, le temps passe au fil des peines et des joies de la petite communauté d’habitués. »
« […] on s’y pose bien des questions : sur la beauté et la laideur, sur les corps et les âmes, sur le signifiant art-con-tem-po-rain, sur la responsabilité de l’artiste et la place de Christian Boltanski, ce qu’il a inventé ou perpétué, désacralisé ou resacralisé, ce qu’il a permis et ceux qui l’ont trahi. »
« Des images saisissantes grâce à un ton attentif, précis et bienveillant. »
« Derrière les personnages sans reliefs se terrent souvent de violentes énergies toutes dédiées au refoulement, toutes tournées vers le maintien de l’artificiel masque de la placidité. De la transparence. »
« Sensible et juste, le roman nous parle sans la minorer de la cause des victimes de violences conjugales via un prisme original et diablement maîtrisé. »
« Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024 : questionnaire de Proust des auteur(e)s en lice »
« Jonquet donne plus qu’à voir des œuvres d’art ; il les enveloppe et les magnifie par l’évocation d’une méthode artistique intuitive, et surtout d’un certain art de la transmission. »