L’APOSTROPHÉE, Julie Vasa, mercredi 22 mai 2024
« Arièle Butaux rend avec son roman un hommage profondément émouvant à ce frère ainé qu’elle a perdu adolescente. »
« Arièle Butaux rend avec son roman un hommage profondément émouvant à ce frère ainé qu’elle a perdu adolescente. »
« Comme signe probable d’une impossible continuation ou transmission Yasmine Liassine […] suspend sa narration au fil d’une écriture voulue détachée mais sensible. »
« Ce court et dense roman est un véritable cratère d’émotions qui s’apprêtent à jaillir en geyser tant elles sont tues, au prétexte de louables intentions. Une lecture qui bouscule, frappée à très juste titre du Prix 2024 de la Closerie des Lilas. »
Rencontre avec la lauréate de cette récompense annuelle consacrée à la littérature féminine.
« Ce roman qui mélange les registres, qui mêle la trivialité sordide d’un rapport destructeur à des rêves et des passages d’un grand lyrisme lors des souvenirs d’enfance sur un autre continent, […] dit l’aventure d’Alice pour remonter du trou où elle était tombée. »
« On sent combien il a dû être difficile pour Arièle Butaux de mettre des mots sur ce drame, la perte d’un frère « différent ». Mais ce roman n’en est que plus fort et plus bouleversant. »
« Que cette libération se manifeste par une descente n’est sans doute pas le moindre avertissement porté par ce roman si juste, et si intense. »
« Avec Arièle Butaux, « le mal de frère » fait vertige, une vie hors normes et trempée d’incompréhension. »
« Le contraste singulier entre le huis clos infernal du couple et l’univers lumineux, ouvert, de la sainteté, et de la douceur charitable incarnée par les êtres qu’Alice découvre, donne à ce roman une originalité folle. La lecture est aussi captivante que fascinante. »
« Arièle Butaux ose lever le voile sur l’abyme intérieur provoqué par la mort de son frère handicapé. L’écrivaine nous livre un texte vibrant, aussi intense qu’essentiel, qui nous laisse le souffle coupé. »