BLOG ASSOCIATION LES AMIS LECTEURS, lundi 25 août 2014


« C’est un roman court que l’on lit rapidement. On est happé par l’écriture tendue, nerveuse, précise et concise mais aussi par moment poétique de l’auteur. On est aussi happé par la psychologie de ce personnage dont la froideur, la cruauté, l’incapacité d’entrer en empathie avec ceux qui l’entourent, provient d’une blessure que l’on perçoit profonde, ancienne, presque originelle et mystérieuse.

Marion Richez écrit avec une concision remarquable, les moments vides, les désillusions et un univers sombre, où aucune rédemption ne semble possible, sauf peut-être à travers quelques moments de fusion avec une nature sauvage animale ou végétale. […]

Après cette lecture, j’attends avec curiosité et envie le prochain roman de cette auteur. »