BLOG « CALOU, L’IVRE DE LECTURE », PASCALE ARGUEDAS


« Comme elle l’avait magnifiquement fait pour Victor Dojlida, Michèle Lesbre sort de l’ombre Marion du Faouët, déjà croisée dans Le Canapé rouge en compagnie d’Olympe de Gouges. Attirée par ces êtres indomptables et imparfaits aux destins tragiques, Michèle Lesbre ressuscite les blessures que laisse l’Histoire, s’empare de leurs combats illusoires qui offrent une force de vie, la nourrissent, la construisent et la renvoient, en écho, à ses propres engagements. […]

Chère brigande est un texte émouvant, qui fait du bien puisqu’il ressource. Une belle rencontre. »