BLOG DANACTU-RÉSISTANCE, dimanche 14 décembre 2014


« Dans un premier roman, la première phrase peut souvent donner une bonne idée du roman proposé au lecteur. La voici :
Océan de lumière droit devant.

Une belle première phrase qui intrigue. Une première phrase donnant envie de découvrir la suite. Le premier roman de Marion Richez est à l’image de cette fameuse phrase, original, surprenant, économe de mots… mais évocateur et presque envoûtant. […]

Cet étrange roman qui demeure vivant longtemps après la fin de la lecture, vient de recevoir une belle unanimité de la part des critiques, étant même dans la sélection des découvertes jeunes talents de l’excellent mensuel Lire !

Marion Richez nous parle de métamorphose, des états border line où la lucidité peut être proche de la folie, où la vie devient incertaine, un moment de brouillard. Son talent littéraire indéniable se met au service de cette histoire forte qui ne peut qu’émouvoir le lecteur malgré la cruauté de la situation et la brièveté du texte. Quand les carapaces de l’enfance se fendent, le destin tout tracé chavire et vacille… Il y a de l’exorcisme dans ce conte, un exorcisme séduisant qui laisse le lecteur fasciné après avoir lu ce roman qui nous annonce une bonne nouvelle, la naissance d’un écrivain. »