BLOG SUR LA ROUTE DE JOSTEIN, lundi 21 janvier 2019


« […] C’est aussi ce qui émane du récit de Léonor de Récondo : malgré la mort imminente du père, il règne un climat de douceur, d’amour, de beauté. Dans cette famille, la création est importante. Elle reste peut-être le seul territoire auquel l’exilé du fascisme qui ne se sent ni espagnol ni français appartient.

Un récit intime, un hommage au père qui rappelle aussi l’histoire de l’Europe […]. Encore un excellent roman de cette auteure musicienne qui sait chaque fois nous emporter dans son monde artistique. »