FRANCE 3, Olivier Barrot, mardi 20 janvier 2015


« Un livre, un jour »

« Un parfait roman français, situé au cour du Berry, en 1908.

Anselme de Boisvaillant, notaire, fraie avec la bonne, Céleste, et néglige son épouse Victoire. Un enfant naît, que la famille adopte, tandis qu’entre les deux femmes, naît une passion.

L. R. – […] L’enfant est le trait d’union, c’est aussi pour ça qu’Amours est au pluriel dans le titre : c’est l’amour de l’enfant, l’amour de l’autre, l’amour de soi-même, la découverte du corps. C’est vrai qu’elles vont être dépassées par leurs propres corps, cette découverte de l’amour qu’elles n’ont jamais connu, ni Céleste ni Victoire. »