LE FIGARO LITTÉRAIRE, Astrid de Larminat, jeudi 8 avril 2010


« Le roman de Kéthévane Davrichewy, l’histoire d’une famille géorgienne réfugiée à Paris en 1918, est empreint d’une mélancolie langoureuse et délicate. L’auteur a recomposé l’histoire de sa grand-mère, fille d’un ministre de la toute jeune république de Géorgie qui, à peine libérée de la tutelle impériale russe, tomba sous la férule de l’URSS. Cet enfant de l’exil conservera toujours la nostalgie du pays auquel elle fut arrachée, son paradis perdu. […] »