MADAME FIGARO, Jeanne de Ménibus, samedi 1er juillet 2006


« […] L’ombre du passé ne s’évapore jamais vraiment dans ce premier roman d’une jeune Sud-Africaine de talent, où l’enfance insouciante et la gravité de l’âge adulte se font écho en d’habiles allers-retours. »