FRANCE 3, Olivier Barrot, mardi 21 février 2017
« Joie est un roman de charme. Celui de l’Italie, où il se déroule largement ; celui du cinéma, métier du personnage principal ; celui du plaisir, dont il a fait une règle de vie. […] »
« Joie est un roman de charme. Celui de l’Italie, où il se déroule largement ; celui du cinéma, métier du personnage principal ; celui du plaisir, dont il a fait une règle de vie. […] »
« Une lettre de femme à femme. La narratrice sʹadresse à Marion du Faouët, la brigande bretonne rebelle et courageuse. Pendue haut et court à lʹâge de 38 ans. Féministe avant lʹheure et avant la lettre. […] »
Michèle Lesbre était l’une des invitées culture de Patrick Poivre d’Arvor pour Chère brigande (Lettre à Marion du Faouët).
« […] Clara Magnani, l’auteur, est-elle Clara, la femme aimée du roman ? Peut-être, mais peu importe, car seule compte cette célébration de l’amour, du cinéma italien, des baignades dans la Méditerranée… Un pur moment de dolce vita. »
« J’ai eu envie d’écrire à Marion du Faouët, qui est une femme rebelle née en 1717 dans une Bretagne misérable, qui va créer à même pas vingt ans sa bande, avec son frère, son amoureux et quelques hommes à cheval, et ils vont dépouiller les riches marchands, les curés, qui rentrent des marchés et des pardons […] »
« Pour moi, le grand mystère de la rentrée de janvier, c’est le roman de Clara Magnani, qui raconte une histoire d’amour clandestine qui se déroule en Italie. […] »
« Sur le principe, on pourrait dire que c’est une histoire d’amour. […] C’est un roman qui est absolument captivant, parce qu’il est vraiment basé sur les personnages, sur la force de la romancière à créer un personnage et à en décrire le magnétisme. […] »
Thème : Une fable humaniste et burlesque qui redonne aux hommes leur place au cœur du monde, avec le romancier Vincent Borel.
« Les Petites Chaises rouges est un roman signé par une grande dame des lettres irlandaises, Edna O’Brien, […] qui revient à la fiction avec ce livre qui commence un peu comme commencerait un conte, c’est-à-dire qu’on voit une haute silhouette noire qui sort de la forêt, un homme qui est vêtu d’un long manteau, qui marche vers un village, le village d’un coin perdu d’Irlande. […] »
Entretien de Patrick Poivre d’Arvor et Vincent Borel, un de ses « invités culture » sur Radio Classique, de 7’55 » à 14’14 »