PAGE DES LIBRAIRES, août-septembre 2017
Lu et conseillé par : Géraldine Guiho, librairie La Buissonnière (Yvetot), Valérie Barbe, librairie Au brouillon de culture (Caen)…
Lu et conseillé par : Géraldine Guiho, librairie La Buissonnière (Yvetot), Valérie Barbe, librairie Au brouillon de culture (Caen)…
« C’est une histoire de pierres. Une histoire d’hommes et de déchirures. De constructions ou de guerres. C’est un plongeon dans les cités. Alger. Meudon-la-forêt. Des bâtiments. Des histoires de vies. Racines. Déracinés. Des hommes et des femmes qui sont peut être nos voisins. […] »
« Oser. S’affirmer. S’assumer. « Avoir le courage d’être soi. » Récit d’une belle éclosion, une renaissance pour se débarrasser des mensonges. […] »
« Laurent deviendra Lauren. Changer de corps pour être celle qu’on est vraiment. C’est toute la question de l’identité et du regard des autres (amis, famille, société) que pose la romancière avec toujours beaucoup de justesse et d’élégance. »
« La lente transformation d’un père de famille qui devient femme. Un livre tout ensubtilité et plein de pudeur. Étonnant. »
« Léonor de Récondo est une grande Dame de l’Écriture. L’émotion m’a accompagnée tout au long de ma lecture. On ne peut pas lire cet ouvrage sans se mettre dans la peau de Laurent. […] »
« Exploration de l’intériorité, de l’intimité du corps lorsque la révolte gronde et le désir grandit. Le désir d’être soi-même, de fuir les mensonges et les faux-semblants, d’affronter ses propres peurs, sa propre intériorité, de se confronter aux regards des autres, aimants ou fuyants. […] »
« Laurent est un homme comme tant d’autres : ses journées sont rythmées par ses entraînements matinaux, sa famille, son travail. […] »
« Laurent est marié, père de 2 ados. Heureux en ménage, il doit quand même reconnaître qu’une partie de lui-même refoulée devient de plus en plus présente. […] »
« Fidèle à elle-même Léonor de Recondo nous emporte dans l’intime. C’est avec son écriture sensible qu’elle nous fait découvrir Laurent, marié, père de famille, qui se trouve enfermé dans son corps d’homme. […] »