LIBRAIRIE L’USAGE DU MONDE, GILLES MILLION, Strasbourg, samedi 17 août 2013
« Après Rêves oubliés (2012), Léonor de Récondo nous offre un roman sensuel et émouvant. Née en 1976, violoniste, le talent de cette romancière est bluffant. […] »
LIBRAIRIE LE COMPTOIR DES MOTS, Paris XXe
« Après le magnifique Pietra viva, Léonor de Récondo change radicalement d’époque, de genre et de style ! […] »
LIBRAIRIE CONTACT, MARTINE FACON, Angers
« Toujours la belle écriture pleine de sensibilité de Léonor de Récondo qui nous emmène ici dans l’univers de Michelangelo.
Formidable ! »
LIBRAIRIE VIVEMENT DIMANCHE, Lyon
« On taille un bloc de marbre et Michel-Ange apparaît peu à peu, avec ses doutes, sa mémoire vagabonde et son élan créatif.
Magnifique ! »
LIBRAIRIE LA MANOEUVRE, Paris XIe
« 1505, le pape Jules II vient de confier à Michel-Ange la réalisation de son futur tombeau. L’artiste se rend à Carrare afin de sélectionner les plus beaux marbres pour la réalisation de son œuvre. […] »
LIBRAIRIE LA MANOEUVRE, Paris XIe
« 1505, le pape Jules II vient de confier à Michel-Ange la réalisation de son futur tombeau. L’artiste se rend à Carrare afin de sélectionner les plus beaux marbres pour la réalisation de son œuvre. […] »
LIBRAIRIE LE HALL DU LIVRE, Nancy
« Léonor de Récondo sculpte la langue comme Michel-Ange le marbre. Un magnifique roman qui nous plonge au cœur de la création artistique de la Renaissance. »
LIBRAIRIE PASSAGES, Lyon
« Comment rester de marbre… 1505. Michelangelo. Carrare. Voici les mots clefs. Ensuite ce roman envoûtant est un déluge de poésie. Le verbe est humble, simple, le mot est juste. Et cette toile de symboles nous a réellement fait frissonner. »
LIBRAIRIE RAVY, Quimper
« 1505. Michelangelo fuit Rome pour mener à bien une mission que lui a ordonnée le pape Jules II, la construction magistrale et monumentale de son futur tombeau. À Carrare, il choisira les meilleurs blocs de marbre… […] »
LIBRAIRIE L’ARMITIÈRE, Yvetot
« Un roman intense, somptueux et inoubliable consacré à la création, autour de la figure de Michel-Ange. […] »