ÉCRAN TOTAL, mercredi 3 février 2021
« […] une rentrée littéraire de janvier très riche de titres à fort potentiel. »
PAGE DES LIBRAIRES, Muriel Balay de la librairie SYLLABES (Millau), hiver 2021
« Tiffany Tavernier sonde les âmes et les multiples ressources de l’homme face à ce que lui réserve la vie. »
LE JOURNAL DU QUÉBEC, Karine Vilder, samedi 30 janvier 2021
« […] le nouveau roman de Claire Keegan laisse longtemps sa marque une fois lu. »
LE DEVOIR, Manon Dumais, samedi 30 janvier 2021
« Avec une remarquable économie de mots, Claire Keegan crée une atmosphère oppressante, évoquant le pouvoir des communautés religieuses sur les petites gens et les difficultés économiques de l’Irlande des années 1980, époque où la jeunesse fuyait à Londres dans l’espoir d’une vie meilleure. »
LE MONDE DES LIVRES, Zoé Courtois, vendredi 29 janvier 2021
« La romancière s’attache à l’écriture de l’intime. À décrire la “tornade qui, d’un mur à l’autre valdingue”. Et parvient – une performance – à détourner l’attention du lecteur du sensationnel vers la banalité des drames secrets que le faits divers réveille incidemment. »
LE FIGARO LITTÉRAIRE, Anthony Palou, jeudi 28 janvier 2021
« [L’Ami] dresse le portrait, non pas de Guy mais de Thierry, cet homme dépressif qui croyait en l’amitié de son voisin et qui ne cesse de ressasser son passé, de chercher des indices qui auraient dû l’alerter […]. »
LA REVUE DES DEUX MONDES, Lucien d’Azay, février 2021
« Ce récit d’une justesse épurée est aussi un tableau de l’évolution de l’enseignement, un tableau « noir », comme l’annonce le titre en trompe-l’œil. »
LE SOIR, Pierre Maury, samedi 16 janvier 2021
« Tiffany Tavernier envisage un point de vue peu usité sur une affaire criminelle. »
LA CROIX, Stéphanie Janicot, jeudi 14 janvier 2021
« Déjà, son précédent roman, Roissy, qui mettait en scène une SDF dans l’aéroport parisien, mêlait le tableau social au parcours intime. Avec L’Ami, Tiffany Tavernier confirme qu’elle excelle à transformer les faits de société en introspection psychologique. »
LE MATRICULE DES ANGES, Julie Coutu, janvier 2021
« Derrière les volets fermés, Claire Keegan tisse une toile lumineuse, tout entière portée par le charbonnier. Et advienne que pourra ; elle laisse l’idée de la fin à qui la lit, fait confiance à l’imagination vagabonde. »