LIBRAIRIE MOLLAT, Jan Carson présente « Le Fantôme de la banquette arrière » novembre 2024
Jan Carson présente son recueil de nouvelles « Le Fantôme de la banquette arrière »
Jan Carson présente son recueil de nouvelles « Le Fantôme de la banquette arrière »
« Maryline Desbiolles ne laissera personne indifférent avec ce livre d’une force incroyable et d’une justesse fascinante. »
« Maryline Desbiolles “débaroule” ses phrases, parfois gracieuses, parfois dures, comme la course saccadée d’Emma, se répète, revient en arrière, pour l’accompagner dans sa renaissance. Pour qu’elle quitte l’histoire collective celle de la défaite pour affronter son propre destin. Libre, elle continuera à courir “de tout son cœur” ».
« Il est bon de redécouvrir l’autrice irlandaise en ce moment, dans l’éclairage nouveau des récents mouvements féministes et dans l’élan de la lecture d’un livre unique, que restitue superbement la traduction. »
« Sa force de création, sa puissance et son audace sont hallucinantes, tout en n’ayant abdiqué sur rien : sa vie de femme, de mère. Tout cela est déjà contenu dans “Country girls”. »
« Le mouvement du corps se répercute dans le récit et dans l’écriture qui le porte, ou, plutôt, l’héroïne en mouvement, l’écriture et le récit lui-même font corps, indissociables, imposant un sentiment d’évidence d’où naît, évidente à son tour, l’émotion – au-delà de l’attendrissement et de la morale, de la sociologie et de l’idéologie. »
« L’autrice a réussi à bien retracer ce drame où l’effacement identitaire faisait partie d’une pseudo intégration à la nation française. Emma en se réconciliant avec l’histoire familiale cherche à travers la réponse à une offre d’emploi à Lyon, un affranchissement des pesanteurs de la souffrance mémorielle. »
« C’est un livre de mouvement, de voyage, de parole, de mémoire et d’horizons divers. Comment évoquer la mémoire ? Que faire quand on fait face aux cicatrices de l’histoire ? »
« Un puissant roman d’émancipation. »
« Si l’on connaissait le talent de la romancière […], on mesure un peu plus, en lisant ces seize nouvelles […], combien son tempérament d’écrivaine s’impose avec la force de l’évidence.»