LE MATIN D’ALGÉRIE, Youcef Zirem, jeudi 12 octobre 2017
« C’est un roman qui plonge dans la mémoire des uns et des autres. Ici et là-bas ; en France et en Algérie. Le fil conducteur de ce texte, poétique, profond et lucide, est un architecte, Fernand Pouillon ; […]»