BLOG LE PAVILLON DE LITTÉRATURE, Apolline Elter, mardi 29 août
« Laurent est femme. Il est cette femme, qui vit en lui et se prénomme Mathilda. Laquelle s’épanouit quand il se travestit, se produit au Zanzi. […] »
« Laurent est femme. Il est cette femme, qui vit en lui et se prénomme Mathilda. Laquelle s’épanouit quand il se travestit, se produit au Zanzi. […] »
« Point cardinal de Léonor de Récondo touche là un sujet difficile. Il y aurait pu avoir du voyeurisme à mettre en exergue ainsi un homme qui se sent femme, il y aurait pu y avoir cette caricature qui menace toujours les sujets délicats. Il n’en est rien. […] »
« Avec la délicatesse que je lui connais depuis le début, Léonor de Récondo aborde un sujet tabou, douloureux et mal compris. Sans apporter de réponse toute faite, elle prend le parti de la tolérance, et de l’intelligence sur le courage d’être soi et de s’affirmer comme tel. […] »
« C’est un roman qui plonge dans la mémoire des uns et des autres. Ici et là-bas ; en France et en Algérie. Le fil conducteur de ce texte, poétique, profond et lucide, est un architecte, Fernand Pouillon ; […]»
« Né en 1962, l’écrivain haïtien Louis-Philippe Dalembert peut se targuer d’une œuvre abondante et variée, où les romans côtoient la poésie et l’essai, et où le créole rivalise avec le français. Avec Avant que les ombres s’effacent, il revient avec un roman […] »
« Une rencontre furtive, qui secoue les convictions de notre héroïne. Le genre de rencontre qui bouleverse et bouscule le rythme des petites routines, une rencontre qui fait réfléchir à une grande question : qu’est-ce qu’on fait concrètement pour aider son prochain ? […] »
Une personnalité bordelaise, l’écrivain Pascale Dewambrechies, nous confie ses coups de cœur culturels. […] »
« Poursuivant une sorte de cycle où la mémoire et le présent se rejoignent, se superposent, parlent l’un pour l’autre, l’écrivaine Michèle Lesbre approche cette fois Marion du Faouët, une rebelle bretonne du XVIIIe siècle, pendue à l’âge de trente-huit ans, pour avoir porté soutien aux pauvres, aux isolés, aux laissés-pour-compte de la société. […] »
« D’Olympe de Gouges, il est aussi question, un instant, dans le récit incisif et rêveur de la romancière Michèle Lesbre, Chère brigande, consacré à une Robin des Bois bretonne du XVIIIe siècle : Marion du Faouët. […] »
« Toutes nos histoires se valent, parce qu’il n’y en a jamais qu’une seule. Celle du temps qui fiche le camp, peut-on lire en dernière page de Joie, le premier roman de Clara Magnani. […] »