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« Belle réflexion sur le deuil, le désir, l’amour, l’art et l’inévitable solitude de l‘artiste, Pietra viva est un petit bijou d’élégance et d’émotion, écrit comme on sculpte, par petites touches délicates et précises. »
« Belle réflexion sur le deuil, le désir, l’amour, l’art et l’inévitable solitude de l‘artiste, Pietra viva est un petit bijou d’élégance et d’émotion, écrit comme on sculpte, par petites touches délicates et précises. »
« Difficile de ne pas être touché par ce texte magnifique et bouleversant, qui dépeint le portrait d’un Michelangelo plus sensible, plus humain, dévoilant les failles et les doutes qui se cachent derrière le génie. […] »
« La rencontre de Michel-Ange et de la pierre. Cette rencontre qui autorise la rencontre avec les autres : ces pierres qu’il a, selon sa volonté, faites Homme. […] »
« Avec Écoute la pluie, son dernier roman, Michèle Lesbre nous revient avec une œuvre à la fois mélancolique et lumineuse. »
« Vincent Borel est critique musical, et le premier romancier à avoir été publié chez Sabine Wespieser, notamment avec Baptiste, premier portrait musical consacré à Jean-Baptiste Lully et paru en 2002. […] »
« C’est un livre exigeant, avec un charme envoûtant […]. Le narrateur nous entraîne dans un monologue intérieur, […] avec des thème forts récurrents. […] »
« Yanick Lahens est de ces écrivaines haïtiennes montantes, inspirées par l’œuvre de Marie Vieux Chauvet, à laquelle elle a consacré une partie de son essai L’Exil entre l’ancrage et la fuite : l’écrivain haïtien. […] »
« Après l’Islande l’an dernier, AIR prend un peu l’Eire. Accueillant notamment deux figures féminines de la littérature irlandaise : Kate O’Riordan et la vénérable Edna O’Brien. […]
À 82 ans, la première publie Fille de la campagne […] »
« Claude Nael est le créateur des parfums de la maison Robert Gallot, un peu comme son auteur qui lui est le parfumeur exclusif de la maison Hermès, mais la ressemblance s’arrête là. Claude Nael est un nez parfumeur qui se contrefiche des lois du marketing. […]»
« Dans ce court récit, que Sabine Wespieser a eu la bonne idée de republier plus de dix années après sa première parution , il n’est pas question d’indignation mais de colère, inextinguible et légitime. […] »