WWW.ONLALU.COM, Romane Lafore, novembre 2013
« Chaque jour de la semaine, à l’heure du goûter, la voix délicieusement souple de Marie Richeux prend le contrôle de France Culture. Elle y produit et anime Pas la peine de crier. […] »
« Chaque jour de la semaine, à l’heure du goûter, la voix délicieusement souple de Marie Richeux prend le contrôle de France Culture. Elle y produit et anime Pas la peine de crier. […] »
« Écoutez le podcast : rencontre littéraire au Lieu Unique, entretien de Guénaël Boutouillet avec Marie Richeux (Nantes, en novembre 2013, dans le cadre du Labo utile»
« C’est un livre beau et doux, plein de poésie et de délicatesse. On est habité par le silence de cet endroit retiré, de la roche blanche, et par la solitude du sculpteur. C’est un petit voyage. »
« Chaque matin depuis trois ans j’écris un Polaroïd. Mon ordinateur garde en archive plusieurs centaines de Polaroïds. Ce sont des textes que j’ai appelés comme ça car il s’agit d’utiliser le procédé photographique des petits instantanés du même nom[…] »
« Marie Richeux joue sur les regards, sur les angles de vue qu’on peut porter sur une même scène. Elle utilise différentes focalisations (oscillant de l’externe à l’interne), fait varier les points de vue. Pour éviter qu’un cliché devienne cliché, pour montrer qu’il y a diverses façons de voir et plusieurs choses à regarder.[…] »
« Ce moment du Polaroïd, prise de risque étonnante, où Marie Richeux met l’entretien radiophonique en pause, pour lire ses 1 500 signes du jour, deux minutes de lecture qui font signe, son, sens, et images, au cœur d’une discussion parfois tout autre ; ce moment du Polaroïd […]»
« Rarement plus bel hommage à Michel-Ange et à tous les créateurs aura été rendu. En choisissant de raconter un épisode symbolique et signifiant de la vie de l’artiste, ce sont tous ceux qui créent, qui nous offrent du rêve et de l’émotion que célèbre Léonor de Recondo dans son ouvrage. […] »
« Dans ce court roman d’une grande densité, une femme amoureuse s’élance vers l’homme aimé, elle ne veut pas rater son train. Sur le quai du métro, un vieil homme lui sourit, puis se jette sous les roues. […] »
« Ce roman est écrit dans un style simple, précis ; il laisse parfaitement entrevoir les dilemmes et tourments auxquels les artistes, en tout temps et en tout lieu, sont sujets. […] »
« Amour, poésie et art, une belle partition littéraire ! Et qui donne envie en prime de repartir à Florence ou à Rome revoir d’un œil nouveau les œuvres de l’artiste ! »