ENCRES VAGABONDES, Brigitte Aubonnet, mercredi 13 mars 2024
« C’est un roman très original, avec une structure parfaite, pour évoquer ce douloureux problème de l’emprise d’une personne sur une autre et de la difficulté à en sortir. »
« C’est un roman très original, avec une structure parfaite, pour évoquer ce douloureux problème de l’emprise d’une personne sur une autre et de la difficulté à en sortir. »
« Pour une romancière comme Maryline Desbiolles qui pratique pour son propre compte une écriture du parler, c’est le signe d’une confiance dans son interlocuteur, dans sa verve, c’est-à-dire dans la capacité de cette parole à décrire un monde muet. Une gageure, faire parler un artiste de son art. »
« Tiffany Tavernier a construit son roman comme un cheminement intérieur. Outre la vie d’Alice dans son quotidien fait de violences psychologiques et physiques, elle nous dévoile – sans prosélytisme – la vie des saints et des candidats à la canonisation. »
« Un récit initiatique vibrant, doublé d’un poignant hommage à Christian Boltanski. »
« Jean Mattern, avec brio, exploite ses thèmes de prédilection pour révéler comment les vérités cachées façonnent la littérature, naviguant à travers les secrets de famille dans une narration rythmée et poignante. »
« Tout en nuance, en finesse, la langue de François Jonquet sait quand il le faut se faire jeu de massacre, mais tout autant enquête sur une autre beauté possible, tout en restant un haletant roman d’initiation.»
« Au Café sans nom, le temps passe au fil des peines et des joies de la petite communauté d’habitués. »
« […] on s’y pose bien des questions : sur la beauté et la laideur, sur les corps et les âmes, sur le signifiant art-con-tem-po-rain, sur la responsabilité de l’artiste et la place de Christian Boltanski, ce qu’il a inventé ou perpétué, désacralisé ou resacralisé, ce qu’il a permis et ceux qui l’ont trahi. »
« Des images saisissantes grâce à un ton attentif, précis et bienveillant. »
« Derrière les personnages sans reliefs se terrent souvent de violentes énergies toutes dédiées au refoulement, toutes tournées vers le maintien de l’artificiel masque de la placidité. De la transparence. »