BLOG SMALL THINGS, jeudi 28 août 2014


« Un premier roman maîtrisé. Une belle virtuosité littéraire et un sens du rebondissement […].

Le style de L’Odeur du Minotaure est maîtrisé, enlevé […]. Il donne de nouvelles couleurs à l’éternel débat entre la ville et la nature, la civilisation impitoyable, déshumanisante, et le règne animal plus humain malgré sa sauvagerie ; le thème du souvenir de l’Holocauste qui y court en filigrane confirme que ce paradoxe est au cœur du récit. »