GRAZIA, Marguerite Baux, vendredi 29 mars 2013


« La reine des lettres irlandaises »

« Une autobiographie brute et éblouissante pour découvrir ce grand écrivain. […]
Tout sauf nostalgique, Edna O’Brien. Comme dans Crépuscule irlandais, terrible hommage à sa mère, elle ne choisit pas entre l’amour et la colère. De son écriture rêche mais superbe, elle transmet les émotions fortes de cette vie de ruptures, sans jamais jouer les héroïnes. Virginia Woolf voulait une chambre bien à soi, Edna O’Brien a vécu une vie bien à elle. »