LE PHARMACIEN DE FRANCE, novembre 2012


« Mon père ce héros »

« Imaginez une enfance qui prendrait des allures d’éternel 1er avril, au contact d’un père fantasque et passionné. Le prologue s’ouvre pourtant sur l’annonce de la mort du père, Behrouz. Sous la plume de sa fille, la figure paternelle devient celle d’un héros. Premier roman fulgurant, Le Meilleur des jours ne laisse qu’un regret : l’esquisse est à ce point réussie qu’on en attendait plus. Restera pourtant la sensation curieuse d’une familiarité, que l’on doit à la plume sémillante de Yassaman Montazami : on est heureux d’avoir croisé Behrouz. »