LE POINT, Marie-Françoise Leclère, jeudi 18 avril 2013


« Une guerrière apaisée »

« Est-elle dupe de ces blandices ? Évidemment non. Car seule compte in fine l’écriture, cette prose fine et serrée comme une gaze (Philip Roth dixit) qui fait tout le prix de ces souvenirs. On y découvre une guerrière apaisée, enfin libre après tant de bruit et de fureur, capable de remercier les vivants et les morts, prête pour un dernier banquet. C’est bien. »