Coup de coeur de la librairie Delamain, 14 septembre 2025
« Marie Richeux mène l’enquête, questionne les silences de l’histoire familiale au-delà du mystère et de la fatalité, explore les faits, leur opacité et en sonde les échos. »
« Marie Richeux mène l’enquête, questionne les silences de l’histoire familiale au-delà du mystère et de la fatalité, explore les faits, leur opacité et en sonde les échos. »
« Dans ce récit puissant et délicat, l’autrice nous raconte sans détour l’enfer de sa jeunesse avec des parents toxicomanes qui vivaient en marge de la société. Livrée à elle-même, c’est grâce à des mains tendues tout au long de sa vie qu’elle s’en sortira. Une maîtresse lui apprend les bases de l’hygiène, un professeur partagera son amour pour la littérature. Ce n’est pas un énième texte sur un transfuge de classe mais une vraie réflexion sur notre société quant au sort réservé aux pauvres.
Une lecture accessible et surtout nécessaire. »
« Il est des livres dont la lecture vous marque à jamais. Quand il ne reste qu’à reconnaître qu’on est tout petit face à une vie comme celle de Katriona O’Sullivan, qu’à être ébloui par la résistance de quelqu’un que la vie s’efforce de faire ployer mais qui jamais ne rompt. Pauvre est de ceux-là, précieux parce qu’écrit par une femme qui s’est joué du sort. »
« Parfois on rencontre un livre qui nous bouleverse profondément et durablement. C’est le cas de celui-ci. »
« Uppercut émotionnel ! Ouvrir ce livre, c’est s’exposer à une grande émotion. »
« Un roman d’une émotion rare, impossible à lâcher. »
« « La Longe » célèbre le pouvoir des mots et la lumière qu’ils peuvent rallumer. »
« La poésie de Dima Abdallah donne chair à des personnages si attachants, tourmentés et remplis de vie. Pudique et bouleversant ! »
« Ancrées dans l’Irlande du Nord où vit leur autrice, les seize nouvelles de ce formidable recueil ont la double qualité de nous inviter à arpenter avec elle ce territoire dont elle ne cesse d’explorer les complexités et aussi de nous proposer comme un concentré de sa vision du monde, de son monde. »
« Yassaman Montazami rend hommage à Roya, mère rêveuse et femme libre qui a quitté Téhéran pour s’installer à Paris. Elle évoque avec tendresse la culture iranienne, la maladie et la complexité familiale. »