LIBRAIRIE LE COMPTOIR DES MOTS, Paris XXe, mars 2017
« Haïti, terre d’accueil ! Le souffle de l’hisoire et une écriture espiègle : le grand retour de Louis-Philippe Dalembert ! »
« Haïti, terre d’accueil ! Le souffle de l’hisoire et une écriture espiègle : le grand retour de Louis-Philippe Dalembert ! »
« Suivez les pérégrinations de la famille Schwarzberg, de la Pologne en passant par l’Allemagne nazie, Paris, Israël, les USA, et Haïti. À travers ces portraits attachants et tendres, traversez le fascinant et féroce siècle dernier avec humour et tendresse. […] »
« À travers l’histoire d’un épisode méconnu, celui du rôle d’Haïti pendant la Seconde Guerre Mondiale, Dalembert rend un hommage tendre et plein d’humour à sa terre natale. Sublime. »
« À travers le parcours du docteur Schwarzberg (de la Pologne à Port-au-Prince), voilà un épisode méconnu de l’Histoire : l’accueil de très nombreux juifs […] »
« C’est d’un fait historique peu connu que part Louis-Philippe Dalembert pour dérouler l’intrigue de son roman. En 1939, l’état haïtien vote un décret-loi octroyant la nationalité haïtienne, passeport et sauf-conduit à tous Juifs européens en faisant la demande […] »
« Inoubliable ! »
« Grand roman de l’errance et du métissage des cultures, Avant que les ombres s’effacent retrace le parcours du docteur polonais Ruben Schwarzberg, de Berlin, ville de l’enfance et de l’adolescence, à Haïti, pays refuge, en passant par la capitale parisienne […]»
« Marion est une SDF qui vit au pied de l’immeuble de Michèle Lesbre, et Marion un jour disparaît. Et Michèle Lesbre repense à une autre Marion, Marion du Faouët, qui était une brigande des grands chemins, une Robin des Bois qui volait l’argent aux riches pour donner aux pauvres. […] »
« Si je suis seule à profiter du soleil et qu’un.e autre vient aussi s’y réchauffer, y aura t-il moins de soleil pour autant ? […] »
« Le Livre du mois. L’histoire d’un amour inattendu qui prend vie au fil des souvenirs de ces deux protagonistes. Un amour passionnel, respectueux et d’une grande maturité ! […] »