LIBRAIRIES INITIALES, rentrée littéraire 2014
LIBRAIRIES INITIALES, rentrée littéraire 2014
LIBRAIRIE LUCIOLES, Vienne, Festival America 2014
« Bain de lune est une histoire de femmes assujetties à la volonté des hommes, d’hommes menés par leur désir, la vengeance et le pouvoir. C’est l’histoire d’une communauté déchirée par des rancœurs ancestrales. C’est un chef-d’œuvre !!! […] »
LIBRAIRIE L’USAGE DU MONDE, Strasbourg, prix des lecteurs 2014
« Où sommes nous ? Dans un lieu lointain pour nous Européens, dans un endroit que nous avons oubliés, nous, le monde des autres dieux, ils hantent encore Anse Bleue à Haïti. Dans ce lieu balayé par les vents, des voix s’élèvent […] »
LIBRAIRIE CALLIGRAMMES, La Rochelle, septembre 2014
« Un gros coup de cœur de la rentrée littéraire ! Haiti, ses drames politiques, la condition paysanne, des figures de femmes fortes et opprimées. Une écriture magnifique ! »
LIBRAIRIE L’ATELIER, Paris XXe, septembre 2014
« Avec un remarquable travail de la langue, Yanick Lahens campe une tragédie grecque dans un village de pêcheurs haïtiens. Roman dur, doux, sensuel, épique, intime, libertaire, plein d’odeurs et de l’histoire d’un pays multiple. Un des romans les plus réussis de la rentrée ! »
LIBRAIRIE LA MANŒUVRE, ÉMILIE PAUTUS, Paris XIe, septembre 2014
« Roman de génération, Bain de lune nous plonge dans la beauté, la violence et la magie d’Haïti. Une grande auteur à découvrir. Tout simplement sublime ! »
LIBRAIRIE QUAI DES BRUMES, Strasbourg, septembre 2014
« Un grand roman : familial, politique et si poétique ! D’une grande dame de la littérature haïtienne. »
LIBRAIRIE LES ARPENTEURS, Paris IXe, septembre 2014
« Magnifique. »
LIBRAIRIE LES PETITS PAPIERS, Auch, septembre 2014
« Un ample roman familial haïtien : des mots puissants et de toute beauté pour évoquer la terre, l’amour, la terreur politique ou le vaudou… Magistral ! »
LIBRAIRIE MILLEPAGES, Vincennes, septembre 2014
« L’absolue beauté de cette saga familiale justement primée ! Par Yanick Lahens, l’auteur de La Couleur de l’aube, prix Millepages 2008. »