une sélection de PICARDIE LA GAZETTE, Patrick Beaumont, vendredi 6 septembre 2013
« Ce roman à la sensualité diaphane nous emmène au printemps 1505 au moment où Michelangelo quitte Rome bouleversé. […] »
« Ce roman à la sensualité diaphane nous emmène au printemps 1505 au moment où Michelangelo quitte Rome bouleversé. […] »
« Elle est ici comme chez elle. Ici à la terrasse du bar Michelangelo, devant son verre de Spritz […]. Michel-Ange lui-même est-il passé par Pietrasanta ? […] »
« C’est l’unique texte que publie, en cette rentrée littéraire, Sabine Wespieser. Et c’est un bijou sculpté dans le marbre. Empreint d’une musicalité poétique, éclairé par une lumière éblouissante, Pietra viva de Léonor de Récondo approche le mystère de la création d’un génie. Michelangelo. […] »
« Bien loin de l’image de l’artiste flamboyant et arrogant souvent associée à Michel-Ange, Léonor de Récondo dresse le portrait intime d’un homme touchant et vulnérable qui, confronté aux épreuves et aux souvenirs, va trouver sa vérité. […] »
« Ce troisième roman de l’auteure est une œuvre d’art délicatement ciselée à l’image des merveilleuses sculptures de Michelangelo, héros de son histoire. […] »
« Ce voyage à ciel ouvert, immersion dans une cathédrale naturelle de pierre, lui permet de nourrir sa dévotion en épuisant son corps dans l’effort : en extrayant les blocs de marbre blanc tombés de la montagne verte, il dessine le monde. […] »
« S’abandonnant à ses émotions au contact d’un petit garçon, ses souvenirs, jusqu’alors enfouis, resurgiront et se fixeront de la plus belle manière dans la matière vive du marbre. […] »
« Violoniste de musique baroque, Léonor de Récondo sait que l’art doit autant aux émotions qu’à la technique. Pour raconter Michel-Ange, elle a choisi l’année 1505. […] »
« Une poussière étoilée tombe des mots de Léonor de Récondo, et la finesse de ces particules provient d’un geste sûr, comme envoûté. […] »
« Sous la très belle plume de Léonor de Récondo, Michel-Ange et ses œuvres prennent vie le temps d’un cheminement intérieur et nous émeuvent par leur sensibilité et leur délicatesse. […] »