PRIX DE LA CLOSERIE DES LILAS, les mots des jurées, jeudi 25 avril 2024
Le jeudi 25 avril, les jurées du Prix de la Closerie des Lilas ont voté au premier tour pour «Le Cratère », à 10 voix contre 3.
LE MONDE, Fabrice Gabriel, vendredi 26 avril 2024
« En dépit des douleurs qu’il évoque, ”L’Oiseau des Français” réussit à faire ressentir jusqu’à ses dernières lignes cette impression d’ouverture , refusant les clichés habituels de la déploration ou de la nostalgie. »
LIRE MAGAZINE, Cécile Ladjali, mai 2024
« Ce livre important, ayant l’Algérie pour sujet, est celui d’une femme dont l’esprit universaliste, la conscience aiguë de l’humain et la nécessité du poème nous rappellent que seule la littérature est capable de rendre mélodieuse la dissonance même. »
L’ILLUSTRÉ, Isabelle Cerboneschi, mercredi 24 avril 2024
« Plongée dans le monde de l’imaginaire de Sarah Jollien »
VERSION FEMINA, Héloïse Rocca, dimanche 21 avril 2024
« Un texte bouleversant parsemé d’éclats de lumière.»
LE PARISIEN MAGAZINE, Sandrine Bajos, dimanche 7 avril 2024
« Magistral, ce roman d’une centaine de pages aborde avec pudeur et justesse le chagrin qui se pose sur une famille. »
LE MATRICULE DES ANGES, Anthony Dufraisse, avril 2024
« On n’est pas certain d’avoir jamais lu un livre aussi juste dans l’approche d’un sujet d’une telle difficulté. »
PAGE DES LIBRAIRES, Marie Hirigoyen de la librairie Hirigoyen (Bayonne), printemps 2024
« Au fil d’un texte à la fois sensible et percutant, traversé d’un humour corrosif, […] c’est bien le mécanisme de la création comme expression du présent qui est décrypté, ce processus alchimique du plomb à l’or. »
PAGE DES LIBRAIRES, Élise Hardt-Rillard de la librairie-café Le Tagarin (Binic-Étables-sur-mer), printemps 2024
« À travers une succession de réflexions personnelles mais aussi de témoignages de ceux qui sont restés et de ceux qui ont préféré partir, c’est toute la complexité de notre rapport à l’Histoire récente qui est interrogée ici de manière brillante et passionnante. »
PAGE DES LIBRAIRES, Christèle Hamelin de la librairie Le Carnet à spirales (Charlieu), printemps 2024
« Arielle Brutaux parle un langage juste, beau sans pathos ni fioriture. Aurore, cette sœur qui vit pour deux, nous touche profondément. »