VERSION FEMINA, Anne Michelet, dimanche 7 octobre 2018
« On découvre cette romancière, également scénariste, grâce à l’éditrice Sabine Wespieser, toujours attentive à saisir une petite musique différente. […] »
LA CROIX, Stéphanie Janicot, jeudi 4 octobre 2018
« […] Dans toutes ces descriptions, l’atmosphère est parfaitement rendue, saisissante, l’écriture précise, détaillée, poétique toutefois, et même lyrique. […] »
PONT DE VUE, Pauline Sommelet, mercredi 3 octobre 2018
« […] Condamnée à errer dans l’aéroport Charles-de-Gaulle, elle y fait des rencontres insolites et s’invente un itinéraire de voyageuse au gré de ses interlocuteurs. […] »
L’ÉCHO RÉPUBLICAIN, Rémi Bonnet, jeudi 2 octobre 2018
« Son roman s’appelle Roissy. Ce nom, c’est celui du célèbre aéroport Charles-de-Gaulle, qui sonne comme une promesse d’évasion, mais aussi comme un repoussoir. […] »
CAUSETTE, Hubert Artus, octobre 2018
« Il faut avoir de sacrées perspectives pour imaginer un huis clos dans les souterrains d’un aéroport. Le septième roman de Tiffany Tavernier va loin, et fait du bien. […] »
LIRE, Dominique Minard, La Librairie (Clermont-Ferrand), octobre 2018
« « Je n’ai rien vu. » – c’est ce que dira le prêtre qui livre ici le récit, hallucinant d’étrangeté, d’une disparition, celle de Paul, un père de famille vivant dans le lotissement voisin. […] »
HAUTES-ALPES LE MAG, entretien avec Vincent Borel, été 2018
« Une histoire de racines »
PAGE DES LIBRAIRES, Marie-Laure Turoche, librairie Coiffard (Nantes), automne 2018
« Bien loin de Fraternels (2016), Vincent Borel renoue ici avec sa passion pour la musique classique. Après avoir dressé les portraits de Lully (Baptiste, 2002) et Wagner (Richard W., 2013), il s’intéresse à Anton Bruckner. […] »
LE MONDE DES LIVRES, Zoé Courtois, vendredi 28 septembre 2018
« Roissy, pour autant, n’est pas une enquête anthropologique écrite avec rigueur et sang froid. Bien au contraire. C’est un journal intime enregistrant sursauts et palpitation de ses personnages. […] »
LE SOIR, Pierre Maury, samedi 22 et dimanche 23 septembre 2018
« S’appelle-t-elle Anna, comme elle l’a dit à Luc, veuf depuis un crash aérien, qui continue d’attendre sa femme à Roissy ? […] »