Encres vagabondes, février 2024
« Au Café sans nom, le temps passe au fil des peines et des joies de la petite communauté d’habitués. »
« Au Café sans nom, le temps passe au fil des peines et des joies de la petite communauté d’habitués. »
« […] on s’y pose bien des questions : sur la beauté et la laideur, sur les corps et les âmes, sur le signifiant art-con-tem-po-rain, sur la responsabilité de l’artiste et la place de Christian Boltanski, ce qu’il a inventé ou perpétué, désacralisé ou resacralisé, ce qu’il a permis et ceux qui l’ont trahi. »
« Des images saisissantes grâce à un ton attentif, précis et bienveillant. »
« Derrière les personnages sans reliefs se terrent souvent de violentes énergies toutes dédiées au refoulement, toutes tournées vers le maintien de l’artificiel masque de la placidité. De la transparence. »
« Sensible et juste, le roman nous parle sans la minorer de la cause des victimes de violences conjugales via un prisme original et diablement maîtrisé. »
« Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024 : questionnaire de Proust des auteur(e)s en lice »
« Jonquet donne plus qu’à voir des œuvres d’art ; il les enveloppe et les magnifie par l’évocation d’une méthode artistique intuitive, et surtout d’un certain art de la transmission. »
« En plaçant son héroïne en ce « centre », Tiffany Tavernier tient vive et féconde la contradiction qui fonde son livre, où le sujet « sociétal » au goût du jour croise un autre sujet, étranger jusqu’à la provocation à tout air du temps. Son audace est de donner à cette gageure littéraire la dimension ouvertement et authentiquement métaphysique qui lui confère sa profondeur. »
« De son style toujours doux mais efficace, Tiffany Tavernier construit une narratrice attachante qu’on a envie d’accompagner sur le chemin de la libération. »
Tiffany Tavernier présente son nouveau roman « En vérité, Alice »