BLOG LES CARNETS D’EIMELLE, mercredi 18 septembre 2013
« Amour, poésie et art, une belle partition littéraire ! Et qui donne envie en prime de repartir à Florence ou à Rome revoir d’un œil nouveau les œuvres de l’artiste ! »
« Amour, poésie et art, une belle partition littéraire ! Et qui donne envie en prime de repartir à Florence ou à Rome revoir d’un œil nouveau les œuvres de l’artiste ! »
« Une belle ode à la création aussi, qui rappelle que même si la création permet de donner vie à ce qui n’existe plus, rien n’a plus de valeur que cette vie justement, qui inspire toute création. […] »
« Hé, tu te souviens, l’an dernier (ou était-ce il y a deux ans ?) j’avais parlé de Rêves oubliés en disant que je l’avais lu sur le conseil d’un libraire aimé et que j’avais reçu ce texte comme un coup de poing dans la poitrine, une expérience d’une extrême violence parce qu’elle avait cadré à mes préoccupations du moment et qu’elle était si bien écrite. […] »
« Les personnages sont beaux, vivants et émouvants : j’ai aimé Cavallino et sa folie, Guido et ses mystères et aussi le petit Micele et sa naïveté d’enfant. […] »
« Mélodieux, ponctué en leit-motiv de la quête, par tous les sens, de la figure maternelle – Michel-Ange a perdu sa mère, jeune, C’est ainsi qu’à six ans, il devient orphelin de mère et de mémoire – ce beau roman nous projette au cœur du processus de création. […] »
« Mathieu Baussart, responsable du pôle littérature française de la librairie Kléber (Strasbourg), a aimé Pietra viva de Léonor de Récondo, chez Sabine Wespieser éditeur. […] »
« Léonor de Recondo dépeint avec justesse, délicatesse et beaucoup de doigté, comme une broderie à points comptés, le cheminement de cet être… […] »
« Les auteurs musiciens savent nous bercer de leur rythme et nous ouvrir les yeux sur l’Art. En racontant ici, le voyage de Michelangelo à Carrare afin de sélectionner les marbres pour une commande du pape Jules II […] »
« Ce livre touche à la magie la plus secrète du bonheur littéraire. Il relève d’un art parfaitement maîtrisé de l’écriture et de la structure mais aussi – dirions-nous surtout ? – il fait naître dans l’âme du lecteur les élans les plus profonds et les plus nobles vers la beauté, la bonté, l’humanité. […] »
« Le style est d’une grande musicalité ; Léonor de Récondo est violoniste et elle transfère dans ce livre tout ce que la musique lui apporte : le tempo, le choix des mots, la sensibilité, l’art du non-dit et de la nuance, etc. […] »