EVENE.FR, propos recueillis par Pauline Le Gall, vendredi 17 mai 2013
« Dans Richard W., Vincent Borel avait pour ambition non pas de raconter Wagner par la puissance dévastatrice de sa musique, mais par les événements qui ont fait sa vie. […] »
« Dans Richard W., Vincent Borel avait pour ambition non pas de raconter Wagner par la puissance dévastatrice de sa musique, mais par les événements qui ont fait sa vie. […] »
« Témoignage étonnant que celui de cette écrivaine qui décide à 78 ans d’écrire sa biographie, ne voulant pas en laisser le soin à d’autres ! Il lui aura fallu trois ans pour en venir à bout. […] Le récit témoigne aussi de son amour […] »
« Michèle Lesbre s’intéresse à la façon dont les événements de notre vie personnelle s’insèrent dans une écriture romanesque en une sorte d’incrustation, pas toujours volontaire, dit-elle… […] »
« Michèle Lesbre s’intéresse à la façon dont les événements de notre vie personnelle s’insèrent dans une écriture romanesque en une sorte d’incrustation, pas toujours volontaire, dit-elle… […] »
« En même temps qu’un polar, La Note verte et une réflexion subtile sur le monde du parfum et plus particulièrement sur la place de l’homme dans la création. »
« Edna O’brien a parfois les souvenirs de tout le monde mais l’aigu des portraits et la couleur des descriptions fait la différence. C’est écrit, ce qui s’appelle écrit : soigné, composé, fignolé. Son penchant pour l’autodérision n’est pas seulement une forme d’humour […] »
« Toujours, avec Michèle Lesbre, la poésie tissée sur une sensibilité à fleur de peau, dans un texte dense, serré comme les jambes qu’une femme tient entre ses bras, blottie dans un fauteuil qui accueille ses nuits blanches depuis que, sous ses yeux, un vieil homme s’est jeté sous le métro après lui avoir souri. […] »
« Le dernier livre de Michèle Lesbre commence par un drame : à la station de métro un vieil homme, anonyme et fugace, sourit à la narratrice puis se jette sous le métro qui arrive. […] »
« Parmi ces coups de cœur, il y en a parfois un qui se détache, et qui devient alors un super coup de cœur, voire même un coup de foudre. Un livre que j’offre à mes amis, et qui restera à jamais dans un coin de ma mémoire, quoique je lise par la suite. […] »
« Il y a 74 ans, le 1er avril 1939, s’achevait la Guerre d’Espagne avec la défaite de la République et la victoire du camp national-catholique conduit par le général Franco, allié de l’Allemagne hitlérienne et de l’Italie mussolinienne. […] »