LE NOUVEL OBSERVATEUR, Claire Julliard, mercredi 19 septembre 2012


« Été 2006. Le père de la narratrice débarque de Téhéran à Paris pour renouveler son titre de séjour. En réalité, il vient y finir ses jours. L’auteur surmonte alors son chagrin en le ressuscitant par l’écriture. Réfugié en France au moment de la révolution iranienne, Behrouz, l’extravagant marxiste, commence une thèse qu’il n’achèvera jamais. Récit concis porté par une langue vive et maîtrisée, ce premier roman trace le portrait d’un personnage hors norme, figure emblématique d’un monde disparu. »