Archives: Coup de cœur des libraires

Coup de coeur de la librairie Les Arpenteurs, 30 septembre 2025

Coup de coeur de la librairie Les Arpenteurs, 30 septembre 2025

« Un incroyable récit où Katriona O’Sullivan raconte avec force, simplicité et lucidité son enfance au sein d’une famille totalement démunie, où les enfants livrés à eux-mêmes vivent au rythme de la toxicomanie parentale. Se souvenant, avec émotion, des rares mains tendues à l’extérieur, et de tous les combats qu’il a fallu mener, elle relate ce parcours invraisemblable qui lui a permis de s’extirper de cette condition misérable (en décrivant parfaitement ce que c’est d’être “pauvre” titre même de cet ouvrage…) pour devenir désormais docteur en psychologie »

Coup de coeur de la librairie Le Failler, 22 septembre 2025

Coup de coeur de la librairie Le Failler, 22 septembre 2025

« Officier Radio est un récit qui commence comme une enquête – une enquête qui s’avère rapidement sans issue, mais qui emprunte des chemins de traverse pour raconter une région : la Bretagne, un milieu, une famille entre terre et mer. Un récit sensible, sorte de dialogue entre passé et présent pour lutter contre l’effacement »

Coup de coeur de la librairie Le silence de la mer, 19 septembre 2025

Coup de coeur de la librairie Le silence de la mer, 19 septembre 2025

« Dans ce livre consacré à la disparition de son oncle officier radio dans la marine, Marie Richeux se lie à une histoire partagée par de nombreuses familles de marins. Le livre est — à plusieurs égards — un véritable hommage : aux archivistes anonymes, aux femmes dont la vie et l’attente ont été synonymes, au pouvoir qu’à la littérature de réunir les êtres, et à la vie en Bretagne, en mer, dans les terres, sur les côtes, là où la nature a forgé des caractères capables d’endurer. »

Coup de coeur de la librairie Le silence de la mer, 19 septembre 2025

Coup de coeur de la librairie Le silence de la mer, 19 septembre 2025

« Que signifie être pauvre ? Quand est-ce que cela commence, et surtout, est-ce que ça s’arrête un jour ? À travers l’histoire de sa famille, Katriona O’Sullivan fait le récit des addictions et des difficultés qui marquent la vie de nombreuses personnes.  D’une voix revenue de son enfance, elle décrit les actions individuelles salvatrices et les aides concrètes dans un système qui dysfonctionne et n’aura cesse de se détériorer. Obstinée, consciente de ce qu’elle doit aux autres et de ce qu’elle se doit à elle-même, elle signe un livre indéniablement courageux, qui s’impose par son point de vue autant que par son écriture. »

Coup de coeur de la librairie Ombres Blanches, 26 septembre 2025

Coup de coeur de la librairie Ombres Blanches, 26 septembre 2025

«  Avec Yanick Lahens, le silence prend des formes et des forces insoupçonnées : celles du secret et de la résistance. Il est étroitement lié au chant, à celui qui part du ventre et remplace le hurlement, de douleur ou de rage. […] Qu’elle soit chant, tissage, jupon multicolore ou ciel intérieur, l’image convoquée par Yanick Lahens pour raconter la force de cette filiation de femmes habite longtemps après la fin du livre. Son mystère aussi. »

Coup de coeur de la librairie Martelle, 17 septembre 2025

Coup de coeur de la librairie Martelle, 17 septembre 2025

« Dans ce récit puissant et délicat, l’autrice nous raconte sans détour l’enfer de sa jeunesse avec des parents toxicomanes qui vivaient en marge de la société. Livrée à elle-même, c’est grâce à des mains tendues tout au long de sa vie qu’elle s’en sortira. Une maîtresse lui apprend les bases de l’hygiène, un professeur partagera son amour pour la littérature. Ce n’est pas un énième texte sur un transfuge de classe mais une vraie réflexion sur notre société quant au sort réservé aux pauvres.

Une lecture accessible et surtout nécessaire. »

Coup de coeur de la librairie Delamain, 4 septembre 2025

Coup de coeur de la librairie Delamain, 4 septembre 2025

« Il est des livres dont la lecture vous marque à jamais. Quand il ne reste qu’à reconnaître  qu’on est tout petit face à une vie comme celle de Katriona O’Sullivan, qu’à être ébloui par la résistance de quelqu’un que la vie s’efforce de faire ployer mais qui jamais ne rompt. Pauvre est de ceux-là, précieux parce qu’écrit par une femme qui s’est joué du sort. »