LIBRAIRIE À LIVR’OUVERT, Paris XIe
« Le dernier livre de Michèle Lesbre est une longue lettre pour Marion du Faouët, une voleuse du XVIIIe siècle qui sévissait en Bretagne, au nord de Lorient, détroussant les riches pour aider les pauvres. […] »
PAGE DES LIBRAIRES, février 2017
Lu et conseillé par :
Muriel Gallot, librairie L’Intranquille Plazza (Besançon)
Hélène Bourdin, Librairie Nouvelles (Asnières-sur-Seine)
Christine Lemoine, librairie Violette and Co (Paris XIe)
Géraldine Guiho, librairie La Buissonnière (Yvetot)
LIBRAIRIE LA CARLINE, Forcalquier
« Marion du Faouët fut une sorte de Robin des Bois bretonne au XVIIIe siècle, cheffe d’une bande de brigands plutôt non violents, qui furent poursuivis sans relâche et finalement arrêtés, torturés et pendus. […] »
LIBRAIRIE LA BUISSONNIÈRE, BETTY DUVAL-HUBERT, Yvetot
« D’une écriture sobre et douce qui révèle une fois de plus son style élégant, Michèle Lesbre nous invite à découvrir Marion du Faouët, jeune brigande bretonne du XVIIIe siècle, libre et vagabonde. […] »
LIBRAIRIE LE GENRE URBAIN, Paris XXe
« Elles font peur. Tu fais peur, ta liberté fait peur, ton insolence aussi. Écrit pour une brigande, cette lettre est destinée à toutes les femmes. […] »
LIBRAIRIE DIALOGUES, DELPHINE LE BORGNE, Brest
« Chère brigande est une lettre adressée à Marion du Faouët. Cependant, toute la puissance de ce roman réside dans l’intention de départ. Michèle Lesbre relie trois destins de femmes avec une très grande délicatesse. […] »
LIBRAIRIE LE SILENCE DE LA MER, JEAN-PHILIPPE PÉROU, Vannes
« À la suite de la disparition brutale d’une sans-abri qui s’appelait Marion, Michèle Lesbre, qui croit en la mémoire des noms, adresse une lettre à Marion du Faouët, rebelle, amoureuse et libre. […] »
LIBRAIRIE LAJARRIGE, La Baule
« Bretonne rebelle et intrépide, née au XVIIIe siècle, Marion du Faouët occupe toutes les pensées de l’auteur. Un court texte d’une intensité incroyable sur l’injustice et la solidarité d’hier et d’aujourd’hui. »
BLOG DE LA LIBRAIRIE QUAI DES BRUMES, MATHIEU BAUSSART, Strasbourg
« Aux Femmes ! Parler d’elle. D’un simple corps réduit à une chevelure ondulant sur la courbe d’un trottoir anonyme. Une forme de femme là dehors sur laquelle chaque matin, et ce jusqu’au printemps de sa disparition, l’écrivain va lever les yeux dans un océan de troubles. […] »