ELLE, Pascale Frey, vendredi 5 décembre 2014
« Quel lien peut-il unir Sigmund Freud et Franz Huchel, un jeune montagnard débarqué à Vienne pour faire son apprentissage dans un magasin de tabac ? La fascination pour l’inconscient ! […] »
« Quel lien peut-il unir Sigmund Freud et Franz Huchel, un jeune montagnard débarqué à Vienne pour faire son apprentissage dans un magasin de tabac ? La fascination pour l’inconscient ! […] »
« Il y a des débuts dans la vie qui ne laissent pas vraiment le temps de débuter. Ainsi ceux de Franz, jeune montagnard venu chercher fortune dans la Vienne des années 30. […] »
« Avez-vous déjà respiré le parfum d’une lettre ? D’une missive à l’ancienne – comme au XXe siècle – écrite sur du papier et reçue par la poste ? Nous ne parlons pas de sa tonalité affective ni des sentiments qu’elle exprime, mais bien des senteurs qui s’en dégagent – l’odeur des mots. […] »
« Ce roman nous emmène à Berlin, auprès de Vlady Meyer. Il vit dans une Allemagne tout juste réunifiée. Ancien dissident, il a été viré de son poste d’enseignant à l’université » […]
« À Vienne, en 1937, le buraliste Otto Tresniek peine à préserver l’harmonie dans son échoppe. Clientèle bourgeoise juive et classes populaires ne parviennent plus à cohabiter. […] »
« Paru en 1986, Le Livre des secrets est considéré comme un monument des lettres néo-zélandaises. Sous la plume vibrante de Fiona Kidman, on y découvre les vies entremêlées de Maria, la sorcière de Waipu, de sa mère Annie et de sa grand-mère Isabella […] »
« Au premier rang de ses souvenirs d’enfance, Erina chérit la mémoire d’une odyssée fantastique jusqu’à Key West, dans la Buick de son père, et de moments moins glorieux dans les casinos. […] »
« Vienne, 1938, c’est l’Anschluss, les événements se précipitent. Avant de quitter l’Autriche, Freud fréquente souvent Le Tabac Tresniek. Un captivant roman de Robert Seethaler. […] »
« Bon sang ne saurait mentir. Si son père n’avait pas décidé de mettre fin à sa brillante carrière d’architecte pour se consacrer à la sculpture et à la peinture […] »
« Dans toute cette histoire, il faudra tenir compte du vent, du sel, de l’eau, et pas seulement des hommes et des femmes, murmure la jeune naufragée du Bain de lune, de l’Haïtienne Yanick Lahens, qui vient de recevoir le prix Femina. […] »