FRANCE CATHOLIQUE, vendredi 14 juin 2013
« Ouvrage magnifique pour celui qui […] aime les errances poétiques. »
« Ouvrage magnifique pour celui qui […] aime les errances poétiques. »
« Un homme et une femme s’attrirent comme deux aimants, se souviennent de leurs vies antérieures, se séduisent. Le scénario, vieux comme le monde, tiendrait sur un sous-bock, et pourtant, le voilà qui accouche d’un très joli roman, […] »
« Après La Lumière et l’Oubli, vous publiez à nouveau un roman sur la Guerre d’Espagne. En fait, Les Plages du silence ont été publiées pour la première fois en 1991 (éditions Ombres). […] »
« Après nous avoir ouvert son Journal d’un parfumeur, Jean-Claude Ellena, qui règne sur les essences de la maison Hermès, publie La Note verte, premier roman sous forme de polar, où s’affrontent deux conceptions de la parfumerie […] »
« Cette nouvelle venue s’impose d’emblée par un style d’une grande pureté. Ses nouvelles parlent de vies minuscules traversées de fulgurances. Tel le garçon de La Fille du forestier. Née en 1968, Claire Keegan attache […] »
Lu et conseillé par :
M. Hirigoyen, librairie Le Jardin des lettres (Craponne)
N. Badina, librairie Majuscule-Birmann (Thonon-les-Bains)
G. Gimeno, librairie Maupetit (Marseille)
« Dans Les Plages du silence de Serge Mestre, un homme cherche à comprendre la trajectoire d’un autre. Manu était le père du garçon dont on suit les pérégrinations entre Argelès-sur-Mer, Paris, Barcelone et une petite île au large de la Catalogne. […] »
«Avec Guillaume et Nathalie, roman d’un amour sis à Port-au-Prince en 2009, juste avant le grand séisme destructeur, on côtoie l’humanité passionnée. Guillaume a laissé une famille au Québec pour vivre cette passion torride […] »
« Guillaume et Nathalie est un titre faussement simple derrière lequel se cache une très délicate exploration du désir. Celui qui naît entre un homme et une femme la veille du séisme qui a ravagé Haïti en 2010. […] »
« Elle n’a pas le cœur à écrire le grand roman des Amériques. Elle ajuste de courtes phrases, qu’elle élague encore, de peur d’expliquer trop, de diriger le regard ; elle fomente une histoire infime qu’elle a méditée longtemps, […] »