LE FIGARO LITTÉRAIRE, Sébastien Lapaque, jeudi 17 janvier 2013
« Richard W. s’ouvre sur des pages étincelantes, toutes éclatantes d’or et de pourpre, qui invitent le lecteur à se glisser dans une loge du Théâtre royal de la cour à Munich, le 10 juin 1865, soir de la première de Tristan et Isolde. […] »