FEMME ACTUELLE, Marc Gadmer, lundi 7 janvier 2019
« Au chevet de Félix, son père mourant, Léonor se souvient de l’homme qu’il a été, de leur complicité autour de la musique. Son récit s’entrelace avec celui de Félix, d’origine espagnole. […] »
« Au chevet de Félix, son père mourant, Léonor se souvient de l’homme qu’il a été, de leur complicité autour de la musique. Son récit s’entrelace avec celui de Félix, d’origine espagnole. […] »
« Au printemps 2015, Léonor de Récondo était la lauréate du grand prix RTL/Lire pour son quatrième roman, Amours. Mais au même moment, elle accompagnait son père vers la mort. […] »
« Ni biographie, ni pure fiction, ce roman est d’abord un joyau littéraire par la beauté de son écriture, évocatrice, dense et racée. […] »
« Peut-on produire un chef-d’œuvre artistique sans avoir jamais aimé ou connu les plaisirs de la vie ? C’est le sujet passionnant qu’explore Vincent Borel à travers le récit d’Anton Bruckner (1824-1896). […] »
« Le compositeur Anton Bruckner devient une figure fascinante sous la plume de l’écrivain. […] En adossant la vie à la mort, La Vigne écarlate reproduit les hantises et les ambitions de son personnage. […] »
« […] Chaque mot sonne juste dans ce texte vibrant sur le deuil. « Clore une vie, avant d’en commencer une autre faite de souvenirs et de pensées », voilà ce que réussit parfaitement Léonor de Récondo, dans ce corps-à-corps bouleversant. »
« […] Loin d’être aussi célèbre que Richard Wagner, qui l’a beaucoup inspiré, Anton Bruckner revient littéralement à la vie, près de deux cents ans après sa naissance, sous la plume érudite de Vincent Borel. […] »
« […] On lit d’une traite à la fois un polar et un poème, en une langue étrange et familière que personne ne pratique vraiment. […] »
« D’une écriture remarquable, Vincent Borel livre dans un tourbillon d’images et de sensations la vie tout entière absorbée par la musique d’Anton Bruckner. […] »
« […] Le premier roman de Conor O’Callaghan, poète et enseignant à l’univeristé de Sheffield, enveloppe comme un brouillard du matin : du flou, des formes familières, des sensations. […] »