BLOG ALINE A LU, entretien avec Aline Sirba, janvier 2023
« C’est la question de l’évolution, voire de la révolution, de la façon d’être mère qui est au cœur du livre. »
« C’est la question de l’évolution, voire de la révolution, de la façon d’être mère qui est au cœur du livre. »
« Pour la première fois, la philosophe du corps des femmes Camille Froidevaux-Metterie explore différemment son domaine de recherche dans un roman auquel elle donne une forme chorale. »
« Jan Carson est simplement une belle auteure qui change nos regards et nous fait grandir. »
« Tout à la fois mordante et tendre, par une écriture tout en liberté et en souplesse, Camille Froidevaux-Metterie délivre un premier roman touchant dans lequel se répond un chœur de femmes. »
« Immense coup de cœur pour ce premier roman de Camille Froidevaux-Metterie, que l’on connaissait déjà pour ses essais. Et ce premier roman-là, c’est, à n’en pas douter, un coup de maître ! »
« « Pleine et douce » est un roman choral de femmes, sur les femmes et par des femmes. Sensible et multiple, ce récit raconte la vie des femmes d’une même famille d’âges différents et dont les vies sont aussi lointaines que parfois étrangement proches. »
« La violence du réel, du quotidien : nul ne l’aura mieux décrite que John McGahern dans « L’obscur », sous la forme d’un affrontement entre un père autoritaire et violent et un adolescent tourmenté, désireux d’échapper aux contraintes qui l’accablent. Certes, l’Irlande de 2022 n’est pas celle de 1940, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts de la Liffey, mais la réédition de ce repère important dans l’histoire littéraire irlandaise s’imposait – même force et même conviction. »
« Camille Froidevaux-Metterie prend ses distances avec la théorie pour embrasser une littérature intime et charnelle, […] l’écrivaine propose une expérience incarnée et aborde au passage un nombre de sujets féministes conséquent, en même temps qu’elle tisse une réflexion profonde sur la transmission. »
« « L’Obscur » propose une résolution où le pardon brille. »
« The prize was awarded on Thursday in Paris to Sarah Jollien-Fardel for “Sa Préférée,” or “His Favorite,” about a woman struggling to cope with the legacy of her father’s physical and psychological abuse. »