ACTUALITTÉ, Barbara Fasseur, jeudi 1er décembre 2022
« Ce récit clairement autobiographique se lit comme un art poétique de l’écrivaine. »
« Ce récit clairement autobiographique se lit comme un art poétique de l’écrivaine. »
« Hantée par l’exil et la nostalgie, l’auteure des « Séparés » et de « L’autre Joseph » revient sur la vie déchirante des Géorgiens émigrés en France avant la chute du mur de Berlin. »
La dernière liste du prix Goncourt des Lycéens, qui sera décerné le jeudi 24 novembre, réunit quatre auteurs dont une primo romancière.
« La violence est un langage qui, une fois appris, ne s’oublie pas et tend à ressurgir. Lorsqu’elle est subie se pose avant tout la question de la survie : comment y échapper ? Pourtant, une fois le danger physique écarté, que reste-t-il ? »
« Cent vingt pages serrées qui, sans jamais ou presque parler de l’œuvre de Mahler, parviennent à installer une autre musique, intime et profonde à la fois, qui paraît en vérité la sienne. »
« Il n’est pas facile pour les petites gens de s’élever dans la société. Le monde rural colle aux semelles quand on se risque dans les rues cimentées de la ville. »
« Un roman d’une force rare »
« Entre le roman familial sur fond d’exil et de guerre aux résonances très actuelles et le récit d’enfance à la fois subtil et fort dont les personnages possèdent une incroyable présence, « Nous nous aimions » de Kéthévane Davrichewy est un pur bijou à découvrir absolument. »
« Un suspense se crée à travers des sentiments intérieurs finement rapportés dans leur complexité, de l’amour et de la difficulté d’aimer, de la confiance et de la trahison. »
« Ce livre est aussi un roman puissant sur l’appartenance à une terre natale, où Jeanne n’aura de cesse de revenir, aimantée par son amour pour sa mère et la culpabilité de n’avoir su la protéger de son destin. »