LE JOURNAL DU CENTRE, « Le Livre de la semaine », Muriel Mingau, samedi 24 octobre 2020
« Un livre important. »
WWW.MEDIAPART.FR, Frédéric L’Helgoualch, lundi 12 octobre 2020
« Si la sensibilité de l’écrivaine affleure dans chaque anecdote, elle ne retient pas ses coups dès qu’elle évoque les politiques. Tout l’intérêt de ‘Tableau noir’ est là : faire comprendre au lecteur le gouffre entre le terrain et les technocrates aux manettes. »
WWW.LES-NOTES.FR, T. R. et A.-M. D., jeudi 8 octobre 2020
« Un texte court, illustré par Gianni Burattoni, sur les petits bonheurs et les souffrances d’un métier que personne ne qualifie plus, sauf par dérision, de “plus beau du monde”. »
WWW.MEDIAPART.FR, Jean-Loup Samaan, lundi 5 octobre 2020
« Complexe et exigeant, le texte de « Mauvaises herbes » atteste de qualités littéraires remarquables pour un premier livre. »
BLOG.LIREKA.COM, Cécile Perronet, lundi 5 octobre 2020
« J’ai eu un véritable coup de cœur pour ce roman poétique et plein d’émotions. Impossible d’être insensible à la plume de Dima Abdallah, entre âpreté et suaves réminiscences… »
CAFEPEDAGOGIQUE.NET, Lilia Ben Hamouda, mercredi 30 septembre 2020
« Ce livre est une réaction au suicide de Christine Renon que je ne connaissais pas par ailleurs, mais son travail je le connais. »
UNTITLED MAGAZINE, Mathilde Ciulla, lundi 10 août 2020
« La douceur du récit répond à la violence des situations dans ce livre de Christine de Mazières qui se dévore en quelques heures, à la suite de personnages attachants, symboles des épreuves auxquelles font face ceux qui veulent échapper à la mort dans leur pays. »
LECTRICEENCAMPAGNE.COM, mercredi 9 septembre 2020
« Voici un livre brillant, jamais désespérant, extrêmement intelligent, parfois teinté d’humour et de beaucoup de tendresse, par une grande voix de la littérature européenne, je vous en conseille la lecture, comme celle des autres romans de Diane Meur, chez Sabine Wespieser : Coup de cœur ! »
BENZINEMAG.NET, Alain Marciano, mercredi 9 septembre 2020
« Sous le ciel des hommes règne la violence capitaliste mais c’est la liberté qui domine. Pour le meilleur, ou pour le pire. Un roman sombre et lumineux. »
ENCRESVAGABONDES.COM, Nadine Dutier, jeudi 3 septembre 2020
« Le rythme des phrases hachées, les répétitions fréquentes, la richesse des mots donnent un souffle très particulier à ce roman. C’est pour moi un très grand auteur qui se révèle ici. »